Le gouvernement américain veut arriver à 67% de voitures électriques dans les ventes de véhicules neufs d’ici 2032. Pour cela, il veut durcir progressivement les niveaux de pollution autorisés pour les constructeurs, un peu comme en Europe.
Longtemps réticent sur le 100% électrique, le numéro 1 mondial de l'automobile, sous l'impulsion de son tout nouveau patron Koji Sato, affiche désormais de très fortes ambitions sur la question des modèles "zéro émission".
Aux Etats-Unis, certaines voitures autonomes ont été perturbées à cause des dégâts occasionnés par une grosse tempête dans la ville de San Francisco. Il a fallu venir les secourir.
Que ce soit chez Renault ou Volkswagen, on espère bien profiter du développement de la voiture électrique pour réussir enfin à vendre des autos aux Etats-Unis ou simplement intensifier sa présence. Les marques Alpine et Cupra y comptent.
Phénomène intéressant, les Démocrates s'intéressent deux fois plus aux voitures électriques que les Républicains.
Volkswagen est en train de mettre la pression sur l’Europe en la « menaçant » de construire ses nouvelles usines de batteries aux Etats-Unis plutôt que sur le Vieux Continent. Le groupe allemand exige davantage d’aides fiscales.
Les futurs SUV électriques d'Alpine devront battre les Porsche Macan et Cayenne. La réussite économique du constructeur est liée à son succès américain.
Aux Etats-unis, l’augmentation du prix de l’électricité ces derniers mois fait qu’il redevient moins cher de rouler dans une voiture thermique. Mais uniquement pour les modèles grand public les moins chers. Pour les modèles de luxe, l’électrique conserve l’avantage.
Non seulement Alpine veut vendre ses voitures aux Etats-Unis, mais elle compte sur son succès aux USA pour atteindre ses objectifs ambitieux.
La proposition des sénateurs de l’état américain, qui voulaient barrer la route à la voiture électrique, a déjà été abandonnée.