Le groupe automobile français PSA avec à sa tête un Carlos Tavares qui l’a sorti de l’ornière veut s’affirmer comme un constructeur mondial. Il a intégré au sein de sa famille une marque Opel qui l’ancre encore un peu plus sur un continent européen dont il doit pourtant se détacher pour être en phase avec son ambition planétaire. Celle-ci, pour se matérialiser, devra passer par un retour sur un marché américain quitté en 1991. Ce retour est en cours, sous une forme originale qui dévoile une stratégie en phase avec la nouvelle donne dans l’usage automobile.
Le patron de PSA souhaite réduire les coûts chez Opel. Il se montre inquiet, l'allemand pouvant ne pas respecter les futurs plafonds d'émissions européens.
C’est une ambiance électrique qui règne au Salon de l’automobile à Francfort. Dans tous les sens du terme. La Chine, avec son annonce d’un carburant fossile qui n’aurait plus droit de cité pour les véhicules en circulation sur son réseau, est un électrochoc, tandis que les dégâts du dieselgate imposent à l’automobile de se choisir un autre courant. Les batteries seraient donc l’avenir. Mais il ne leur faudrait pas déjà leur accorder toutes les vertus. Le patron du groupe PSA, Carlos Tavares, prévient qu’il faut tirer les leçons des erreurs commises.
Le groupe automobile français PSA continue sa procédure qui fera à terme de l’allemand Opel une marque de sa famille. Déjà composée de Peugeot, de Citroën et de DS, elle s’embellira d’Opel et de Vauxhall. Ainsi, l’assemblée générale a approuvé à une écrasante majorité l’agrandissement du groupe. Malgré une mauvaise nouvelle.
Dimanche prochain aura lieu la passation de pouvoir à l'Elysée: une cérémonie où chaque détail compte, et notamment celui du choix du carrosse présidentiel. Caradisiac a fait le tour des possibilités qui s'offrent à Emmanuel Macron, en évaluant les chances de chacune.
La Chine est le premier marché mondial pour l’automobile, et c’est donc une contrée on ne peut plus stratégique pour ceux dont le cœur de métier est d’en vendre. Or, nos deux groupes français y partagent les mêmes déceptions tout en œuvrant avec le même allié local. Une situation pour le moins insatisfaisante qui devra changer d’ici cinq ans.
Au moment où le Salon de Shanghai s’éveille dans une Chine depuis longtemps sorti de son sommeil le patron du groupe automobile français PSA garde l’œil ouvert sur le résultat de ses troupes. Et il souhaiterait les sortir de leur léthargie. Un réveil en sursaut consécutif à cette déclaration de Carlos Tavares qui juge la situation de ses ventes dans l’empire du milieu comme quelque chose d’inacceptable.
Décidément, Carlos Tavares est un dirigeant qui a le vent en poupe. Après avoir ramené PSA sur les bons rails, le Français intéresse désormais le pétrolier Total qui veut le nommer dans son conseil d'administration pour sa connaissance du monde de l'industrie et des transports.
Les bonnes nouvelles semblent se succéder dans le groupe automobile français PSA. L’Iran est revenu dans la course économique et favorise les activités du lion chevronné qui lorgne sur les concessions européennes d’une General Motors qui bat en retraite. Une démarche qui porte ses fruits tandis qu’une proposition a été faite au malaisien Proton. Mais ce n’est pas fini. PSA annonce à présent un bond de 79 % de son bénéfice net.
Le groupe automobile français PSA à l’actionnaire de poids chinois et qui perce en Iran va poursuivre son internationalisation en reprenant pied en Inde. C’est du moins ce qu’annonce le quotidien Les Echos en préliminaire d’une conférence de presse que le président du directoire Carlos Tavares tiendra ce mercredi. Le lion retrouverait donc le tigre en espérant faire aussi bien que le compatriote concurrent Renault. Qui se félicite du succès de son modèle Kwid dans ce pays grand comme un continent.