Le changement brusque d'opinion sur le diesel et la marche quelque peu forcée vers l'électrique ont bousculé les constructeurs. Les plus "agiles" s'en sortiront quand les autres se feront "laminer", selon Carlos Tavares, le patron de PSA, qui fustige une nouvelle fois les contraintes trop fortes imposées aux constructeurs.
Carlos Tavares devrait toucher un bonus d'un million d'euros suite à l'achat d'Opel et à la mise en place du plan de relance du constructeur allemand. Cette rémunération exceptionnelle doit être validée par la prochaine assemblée générale.
Electrification, voiture autonome, relance d'Opel et retour aux Etats-Unis: le patron de PSA Carlos Tavares s'est exprimé sur la stratégie du groupe dans les dix ans à venir.
C’est une mesure de la nouvelle loi travail qui a été mise en exergue, et pourtant, son principe date de dix ans déjà. C’est en effet depuis l’ère Sarkozy que l’on entend parler de rupture conventionnelle et 2,5 millions de personnes l'auraient déjà utilisée. Il s’agit d’une procédure qui permet à l'employeur et au salarié en CDI de se séparer "à l’amiable". À présent identifié comme rupture conventionnelle collective, le dispositif va notamment être mis en branle au sein du groupe automobile PSA. Ce qui n’a pas manqué de susciter des commentaires au sein d’une entreprise en bonne santé. Aujourd’hui, des députés de LREM écrivent à Carlos Tavarès, PDG du groupe automobile sur le sujet. Mais pas pour renier ce qu’ils ont voté…
PSA continue de prendre de l'importance au niveau européen puisque son patron, Carlos Tavares, va succéder en 2018 à Dieter Zetsche (Mercedes) à la présidence de l'ACEA, l'association des constructeurs automobiles européens. Carlos Tavares a été élu pour un an, avec possibilité d'enchaîner un second mandat.
PSA: 1 milliard d'euros investis en Inde?
, mis à jour 21
D’après Bloomberg, le groupe PSA s’apprêterait à investir 1 milliard d’euros en Inde, en complément des 100 millions annoncés au mois de janvier dernier. Objectif : construire un site d’assemblage et une usine de moteurs, et renforcer sa présence dans un pays à l'énorme potentiel automobile.
Le groupe automobile français PSA avec à sa tête un Carlos Tavares qui l’a sorti de l’ornière veut s’affirmer comme un constructeur mondial. Il a intégré au sein de sa famille une marque Opel qui l’ancre encore un peu plus sur un continent européen dont il doit pourtant se détacher pour être en phase avec son ambition planétaire. Celle-ci, pour se matérialiser, devra passer par un retour sur un marché américain quitté en 1991. Ce retour est en cours, sous une forme originale qui dévoile une stratégie en phase avec la nouvelle donne dans l’usage automobile.
Le patron de PSA souhaite réduire les coûts chez Opel. Il se montre inquiet, l'allemand pouvant ne pas respecter les futurs plafonds d'émissions européens.
C’est une ambiance électrique qui règne au Salon de l’automobile à Francfort. Dans tous les sens du terme. La Chine, avec son annonce d’un carburant fossile qui n’aurait plus droit de cité pour les véhicules en circulation sur son réseau, est un électrochoc, tandis que les dégâts du dieselgate imposent à l’automobile de se choisir un autre courant. Les batteries seraient donc l’avenir. Mais il ne leur faudrait pas déjà leur accorder toutes les vertus. Le patron du groupe PSA, Carlos Tavares, prévient qu’il faut tirer les leçons des erreurs commises.
Le groupe automobile français PSA continue sa procédure qui fera à terme de l’allemand Opel une marque de sa famille. Déjà composée de Peugeot, de Citroën et de DS, elle s’embellira d’Opel et de Vauxhall. Ainsi, l’assemblée générale a approuvé à une écrasante majorité l’agrandissement du groupe. Malgré une mauvaise nouvelle.