
Le salaire de Tavares "soumis" aux actionnaires
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Les actionnaires du groupe Stellantis ont validé le salaire de leur grand patron, qui pourrait atteindre 23,5 millions d'euros à condition qu'il remplisse les objectifs fixés.
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Les actionnaires du groupe Stellantis ont validé le salaire de leur grand patron, qui pourrait atteindre 23,5 millions d'euros à condition qu'il remplisse les objectifs fixés.
Fort d’un chiffre d’affaires net de 179 milliards € et d’un bénéfice net de 16,8 milliards € engrangé en 2022, le groupe Stellantis se porte bien. De bons résultats qui vont encourager le recrutement de 1 200 personnes en France en 2023.
La mobilité électrique "accessible" se fera, mais probablement dans un délai bien plus long que celui espéré par le pouvoir politique.
Le patron français du groupe Stellantis pourrait finalement toucher 23,5 millions d’euros de salaire pour l’année 2022. De quoi lui permettre de rester le patron le mieux payé du CAC40 ?
Selon le Directeur général de Stellantis, il faut notamment se préparer à un "combat terrible" avec les constructeurs chinois.
Le CES de Las Vegas représente le premier grand rendez-vous automobile de l'année. Peugeot, Volkswagen et BMW y seront particulièrement scrutés.
Rattachée au groupe Renault en 1999 par Louis Schweitzer, le patron du constructeur au losange de l'époque, la marque d'origine roumaine est une vraie success-story, qui suscite beaucoup de jalousie. Dernier exemple en date, Carlos Tavares, Directeur Général de Stellantis, qui réfléchit à importer des Citroën fabriquées en Inde afin de concurrencer la Spring de chez Dacia.
Quand Toyota, le premier constructeur mondial avance vers l‘électrique à tous petits pas et que Volkswagen, qui lui dispute le titre, ralentit la cadence, tous les autres se posent des questions. Et si le marché n’était pas prêt ? Et si les politiques changeaient d’avis ? Et si on revenait à la case départ ? Et si on trouvait d’autres solutions ? Et si, et si…
D’après le patron de Stellantis Carlos Tavares, il serait actuellement trop coûteux de construire des voitures électriques en Europe. Il préférerait les fabriquer en Inde.
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Après la visite d’Emmanuel Macron ce lundi au Mondial de l’Auto de Paris, le gouvernement a annoncé cette semaine de nouvelles aides publiques pour la filière automobile française. Objectif: produire deux millions de véhicules électriques par an en France en 2030, et décarboner le parc auto français. C'est ainsi que la filière du retrofit va profiter d'une enveloppe de 20 millions d'euros. Caradisiac en a parlé avec le ministre des Transports Clément Beaune.
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