Les constructeurs automobiles ont persisté dès le début des systèmes embarqués à concevoir leur propre technologie en interne. Mauvaise idée, selon une étude américaine qui démontre que les Google et Apple CarPlay sont bien moins distrayants et mieux intégrés que les interfaces d'origine.
Le projet de voiture autonome chez Apple paraît toujours aussi flou, mais le géant américain semble avoir franchi un pas. Après avoir été débouté à la fois par les groupes Mercedes et BMW, c'est vers Volkswagen que s'est tourné le puissant fabricant d'appareils électroniques. Le premier résultat de leur collaboration sera un Volkswagen Transporter autonome pour les employés d'Appe aux Etats-Unis.
Une majorité de constructeurs proposent désormais la compatibilité de leur système d’info-divertissement de bord avec Android Auto, Apple Carplay, voire Mirrorlink, parfois sous un nom de système qui leur est propre. Comment s’y retrouver dans cette jungle de systèmes et surtout, quels en sont les bénéfices concrets ? Décryptage de ces différents moyens de relayer les contenus de votre smartphone sur l’écran de bord.
Un smartphone est un véritable ordinateur de poche capable de connecter votre auto. Il offre ainsi d’immenses capacités parmi lesquelles certaines fonctionnalités sont de véritables aides, d’autres de dangereuses distractions. Les applications proposant des services pendant la conduite sont légion. Nous avons sélectionné pour vous les meilleures, celles qui vous facilitent la vie au volant… en toute sécurité.
Problèmes de management, trop d'ambition, projet trop complexe ou bien encore manque d'expérience dans le domaine, les raisons sont nombreuses pour expliquer l'arrêt du projet de voiture autonome d'Apple qui se concentrera désormais sur le système embarqué, et uniquement sur cela.
C’est le signe d’une époque. Un progrès qui devient fléau lorsque l’addition prend le pas sur l’utilité. Il y a quelques années, rouler en voiture, c’était se concentrer sur un châssis, des rapports de boîte, une valeur de couple et la mélodie d’une mécanique. Aujourd’hui, c’est prolonger son environnement multimédia et en fait de symphonie à pistons, on préfère tout simplement sa musique. Au moment où la transhumance estivale a court, avec ses parcours à longue distance, ce que l’on appelle « l’infodivertissement » va s’imposer dans les habitacles. Ludique, mais pas sans danger.
Cette fois, il n'y a plus de doute : la Pomme travaille sur la mise au point d'une intelligence artificielle pour permettre aux voitures de se passer de conducteur. Mais Apple n'a plus l'intention de fabriquer des autos.
Le patron de la firme de Cupertino Tim Cook a convoqué le directeur du géant Uber. L'entreprise spécialiste des transports avec chauffeur privé a failli se faire bannir de l'Apple Store suite à des pratiques douteuses d'espionnage de ses anciens utilisateurs.
Apple a donc obtenu la licence pour tester un véhicule autonome sur les routes de Californie. Un quitus qui remet en route le projet automobile de la firme à la pomme en l’associant à des marques automobiles. Le tout dans une démarche qui fait florès. Pour autant, l’Apple Car à l’horizon 2020 est-elle redevenue d’actualité ? Peut-être pas. Car après l’euphorie de l’annonce des essais maintenant possibles est arrivée la déception de la nouvelle au sujet des véhicules qui seront utilisés pour ces expériences.
On pensait que le projet Titan du géant Apple destiné à développer l’idée d’une voiture autonome était un colosse au pied d’argile. Mais depuis quelques semaines, on se dit que, finalement, cette démarche, c’est du béton. Voilà que la firme à la pomme croque à nouveau le sujet en obtenant l'autorisation de tester des voitures autonomes en Californie.