
Encore une grosse chicane au menu ce soir. Bienvenue, il est vingt-deux heures.
Encore une grosse chicane au menu ce soir. Bienvenue, il est vingt-deux heures.
Le vendredi 11 juin, dans le cadre du déplacement de Caradisiac au Mans pour couvrir les 24 Heures, j’ai enfin pu honorer ma promesse de visiter l’écurie DAMS. Aujourd’hui engagée en GP2, AutoGP, FLM et Formula BMW, elle est une des écuries françaises les plus réputées dans le monde du circuit. Claire Magnant, team coordinator, nous a accueilli sur le coup de 16 heures, à Ruaudin, à quelques encablures seulement du circuit de la Sarthe.
Le 13 juin dernier, du petit matin jusqu’au début d’après-midi, Peugeot allait boire le calice jusqu’à la lie lors d’une édition des 24 Heures du Mans mémorable qui vit Audi triompher.
Les 24 Heures du Mans sont un monument. Elles méritent bien leur encyclopédie. D’ailleurs le projet existe. Mais sa date de sortie est quelque peu repoussée.
Emmanuel Collard, parti à la faute lors des 24 Heures du Mans suite à un dépassement d’Anthony Davidson, n’a pas apprécié le comportement du Britannique. Depuis, ce dernier a pris la responsabilité de l’accident du Français.
Revenons sur quelques prestations (tant d’équipes que de pilotes) passées entre les mailles du filet de notre couverture des 24 Heures du Mans.
Une panne m’a empêché de finir de couvrir en direct cette passionnante 78è édition des 24 Heures du Mans.
L'Audi n°9 a gagné les 24h du Mans mais dans les premières heures de course, son périple aurait pu s'arrêter. En rentrant aux stands pour un de ses premiers ravitaillements, la R15+ a fauché un cameraman d'Eurosport.
A 0h12, une image de Pescarolo Judd en perdition apparaît sur les écrans. En fait, la n°24 vient de heurter la Ford GT n°60 qui était en tête de sa catégorie LMGT1.
François Sicard, team manager, déclarait à l’instant que la Pescarolo Judd n°24 du OAK Racing tournait « comme une horloge ».
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