Volkswagen T-Roc cabriolet restylé (2022) : les premières images de l'essai + impressions de conduite
Alexandre Bataille , mis à jour
Désormais unique découvrable du catalogue Volkswagen, le T-Roc a droit également à son restylage de milieu de carrière. Premières images de l'essai.
Le T-Roc Cabriolet reste une exception dans le paysage automobile. Quelques SUV ont essayé d'enlever le haut, mais ils ont eu une carrière éclaire à l'image des Nissan Murano Cross et Land Rover Evoque Cabriolet. Le T-roc cabriolet a su trouver son public puisqu'il représente environ une vente sur dix de puis son apparition, en 2020, soit trois ans après la sortie du T-Roc.
Volkswagen T-Roc cabriolet restylé (2022) : les premières images de l'essai + impressions de conduite
Sans surprise, les évolutions stylistiques sont les mêmes que pour le T-Roc classique, essayé il y a quelques semaines sur Caradisiac. Elles portent sur l’introduction d'un nouveau bouclier et d’un bandeau lumineux qui longe la calandre sur les finitions hautes.
À l’intérieur, les principales transformations ont porté sur l'amélioration de la qualité des matériaux, point très critiqué lors de la sortie du T-Roc, en 2017. On notera aussi la possibilité d'avoir les commandes tactiles pour gérer la climatisation et l’arrivée de touches capacitives sur le volant.
Le T-Roc cabriolet conserve son architecture à 3 portes, 4 places et une capote en toile (triple épaisseur) qui s’occulte en moins de 10 secondes, jusqu’à une vitesse de 30 km/h. Le cabriolet se contente de deux moteurs essence, le 110 ch et le 150 ch, ce dernier ayant d'office la boîte DSG 7 rapports. Il y a aussi deux finitions, Style et R-Line. Vendu en moyenne 6 000 € de plus, le T-Roc cabriolet voit ses tarifs débuter à 36 160 €.
Premières impressions de conduite
L’offre de motorisations du T-Roc cabriolet est réduite et orientée vers l’essence avec en entrée de gamme un 3 cylindres suralimenté de 110 ch associé à une boite mécanique à 6 rapports. Volkswagen mise davantage sur le 4 cylindres TSi de 150 ch couplé à la boîte automatique pour assurer le gros des ventes. Un mariage éprouvé au sein du groupe qui colle plutôt bien à la philosophie du T-Roc cabriolet. Ici, on ne recherche pas de la sportivité mais de la souplesse et du confort. Et dans ce domaine c’est une réussite.
Le T-Roc est ici équipé d’un châssis sport. Le travail apporté à la rigidité porte ses fruits, car il conserve un certain dynamisme et surtout un niveau de confort vraiment correct, malgré la présence de jantes de 18 pouces. Pour cruiser et profiter pleinement des sensations cheveux au vent, c’est réussi. On aurait aimé un moteur un plus costaud pour profiter davantage des bonnes prédispositions de l’allemand.
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