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On ne rigole pas au Japon avec la tricherie. Peut-être moins qu’ailleurs. Mitsubishi, en tout cas, sert d’exemple pour nous dissuader de penser le contraire. Peu après le dieselgate initié par Volkswagen, Mistsubishi s’est retrouvé dans le collimateur du gouvernement japonais qui lui reprochait toute une série de tests de consommation de carburant biaisés, afin de présenter de meilleurs rendements énergétiques.
Un fait reconnu ainsi par le constructeur : « Mitsubishi a mené des tests de manière incorrecte afin de présenter de meilleurs rendements énergétiques que ceux existants effectivement, les méthodes de test étant différentes de celles requises par la loi japonaise ». Dans la gamme, ce sont les Outlander et les mini-voitures que sont les eK Wagon et eK Space, qui étaient d’abord mises en cause.
Mais d’autres modèles sont ensuite apparus, ce qui a fait plonger les actions du blason. Une situation analysée comme une opportunité d’acquisition par le groupe Renault-Nissan qui racheté 34 % de Mitsubishi, pour un montant de 2,1 milliards d'euros.
Un achat avec cette affaire comprise qui a suivi son cours. Au final, le Gouvernement a condamné la marque au diamant à une amende de 3,9 millions d’euros. A priori, un moindre mal.
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