Bonjour Kkrist ; peux-tu nous résumer ton parcours ? En fait, j'ai toujours aimé la moto. J'ai commencé à dessiner très jeune et dès que j'ai eu un vélo, j'ai eu envie d'avoir un moteur dedans. Donc, j'ai vécu tout ce que les passionnés ont connu, à savoir tout d'abord les mobylettes, puis ma première 125cc et enfin le permis gros cubes.
Au Salon de Paris tout comme au quotidien sur le marché, force est de constater qu'un fossé culturel s'est crée entre les Européens et les Japonais. Ces derniers entrent dans le siècle nouveau humbles et avec la volonté de se concilier les éléments, tant naturels qu'économiques au travers de nouvelles machines consensuelles, exsudant l'écologie, la polyvalence ou encore le politiquement correct.
Ici, c'est la caverne d'Ali Baba du collectionneur. Les tentations sont grandes et il n'y a que deux choses qui freineront les moins raisonnables d'entre nous: l'état du compte en banque et le moyen de transport choisi pour venir au salon.
Le Rumi Club de France présentait les très sportifs modèles fabriqués par la firme italienne. Ces "petits" engins au look si particulier sont de plus en plus prisés dans le milieu de la collection. Le Lambretta Club de France exposait l'ancienne et la nouvelle génération du célèbre deux roues.
Bonjour Patrice ; comment en es-tu venu à marier ta passion pour la moto et tes dons d'artiste peintre ? J'ai passé mon permis moto en 1973 ; à l'époque, on pouvait l'obtenir dès 16 ans. J'ai pratiqué la moto un certain temps puis il y a eu une longue période d'abstinence.
Pour 2012, la Nevada n'évolue pas en profondeur esthétiquement. Cependant, elle hérite d'un nouveau bicylindre en V transversal lui garantissant plus de puissance, un couple en hausse, une consommation et des émissions en baisse. Coup d'œil ! Les temps sont durs, ça, tout le monde le sais.
Cette fois, ça y est. Une grande partie de la confrérie des motards va rentrer dans sa phase « hibernation ». La saison Moto GP vient de baisser son rideau de la manière la plus tragique qui soit, la plupart des motos vont rejoindre le garage pour un sommeil de quelques mois et il n'y a guerre que quelques irréductibles qui vont continuer à braver les intempéries.
Voilà un modèle particulièrement attachant d'une gamme Moto Guzzi pour laquelle le groupe Piaggio a les yeux de Chimène. Pas moins d'une quarantaine millions d'euros ont ainsi été investis sur la tête d'un aigle de Mandello Del Lario qui a connu un envol de 31% de ses ventes d'une année sur l'autre dans un marché en déflation de 8%.
Alors que nous assistons aux derniers instants de la catégorie 1/8ème de litre sur le circuit Ricardo Tormo de Valence, prenons la machine à remonter le temps pour nous retrouver en 1949.
Se rendre à la bourse de Mannheim, c'est un peu comme partir en pèlerinage! ! ! Il faut s'y préparer, aussi bien physiquement que moralement. Ben oui quoi; ici, ce n'est pas le vide grenier du coin que l'on arpente en famille en quelques dizaines de minutes. A Mannheim (tout comme à Ludwigshafen d'ailleurs), tout est démesuré.
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