Le Smart #1 Brabus mauvais au test de l'élan
Sans aller jusqu’à la catastrophe de l’époque de la première Smart, le SUV électrique de la marque désormais chinoise signe de mauvais résultats au test de l’élan.
En 1997, la toute nouvelle marque Smart vivait un cauchemar lors du lancement de sa toute première microcitadine. Comme la Mercedes Classe A de première génération, la petite Allemande échouait au fameux test de l'élan, obligeant les ingénieurs de la marque à revoir ses réglages châssis. 26 ans plus tard, c’est au tour du nouveau SUV électrique de Smart de passer par cette épreuve redoutable du test de l’élan. Et sans aller jusqu’à la catastrophe des essais ratés du siècle dernier, le #1 Brabus ne s’illustre pas particulièrement bien à l’examen.
Le Smart #1 Brabus mauvais au test de l'élan
Les journalistes espagnols de KM77 ont en effet constaté un comportement dynamique délicat lors de ce test à haute vitesse. Impossible pour eux de réussir l’exercice sans toucher des cônes à la vitesse de 77 km/h. A cette vitesse, le sur-virage du véhicule oblige à corriger sans permettre de rester dans la voie. Pour réussir correctement le test de l’élan, il faut réduire la vitesse à 65 km/h. Un chiffre nettement plus bas que pour la Renault Mégane E-Tech (74 km/h), ou loin des records des Tesla Model 3 et Y (83 km/h).
A partir de 47 490€
La version Brabus du Smart #1, disponible à la pré-commande en France, coûte 47 490€. Elle développe 428 chevaux grâce à un groupe motopropulseur nettement plus poussé que celui de la version d’entrée de gamme et ses 272 chevaux. Elle peut abattre le 0 à 100 km/h en 3,9 secondes et il semblerait donc que son comportement soit réglé pour devenir joueur plutôt que pour privilégier la stabilité.
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération