L'auto des voisins - Laurent, de Levallois a fait son choix : un Volkswagen T-Roc loué en LOA
Le photographe de Levallois-Perret est un adepte de la location avec option d'achat qui lui permet de passer ses autos en frais professionnels. Après deux Peugeot 3008, il a changé de boutique pour s'offrir un Volkswagen T-Roc 1.5 TSI DSG7 en finition Carat et il nous explique pourquoi.
C'est un précurseur. En matière de financement comme en matière de goûts automobiles. Les SUV sont à la mode ? Il s'est offert il y a un an son troisième engin haut sur pattes. La LOA représente aujourd'hui la majorité des ventes ? Il a acheté, ou plutôt loué, toutes ses autos de cette manière depuis près d'une décennie. Photographe, Laurent circule beaucoup, entre ses clients et les galeries où il expose ses œuvres. Indépendant, il intègre ses dépenses de déplacement dans ses frais professionnels, d’où son choix de la location avec option d'achat. "En plus, je suis plutôt précautionneux avec mes voitures. Je les rends donc en bon état, au bout de trois ans et 60 000 km".
Le premier de ces SUV était un Peugeot 3008, loué en 2013. Ce n'était pas celui qui cartonne actuellement, mais le premier du genre, au design, disons, approximatif. "Les copains se sont d'ailleurs bien moqués de moi avec mon tank". Après trois ans à son volant, Laurent rend le crossover et repart avec un autre 3008, le modèle actuel cette fois. Un peu plus de trois années de plus se passent, sans encombre, quand au début 2020, vient l'heure de s'en séparer et de s'engager pour une nouvelle auto.
Une négociation interrompue par des frites
Pas de problème pour la reprise, "ils ne m'ont compté que deux pneus à changer". Pourquoi pas repartir avec un troisième 3008, Laurent étant satisfait du sien ? Sauf que le vendeur Peugeot lui fait comprendre que les tarifs ont augmenté de 20 %. "Et surtout, qu'il était midi et que son Mc Do était arrivé. Il nous a simplement congédiés en nous expliquant qu'il nous rappellerait plus tard". Ce qu'il a fait, effectivement, mais au bout de trois mois seulement. Déçus, le photographe et sa compagne continuent leur tournée des popotes et poussent la porte du concessionnaire BMW, "l'accueil était très sympa, mais c'était hors budget pour moi".
Laurent et Juliette, sa femme, ne se laissent pas abattre. Et passant devant le show-room Vokswagen, ils entrent. "On est tombés sur un commercial sympa et compétent". Le couple n'a aucune idée préconçue en matière d'automobile. "La couleur m'est égale, tout comme le choix entre essence et diesel". Ce qu'il souhaite, c'est un SUV bien motorisé et correctement équipé. Le vendeur lui présente alors un T-Roc. Laurent est séduit, Juliette aussi. "Il est un peu plus petit que le 3008, mais à Paris, c'est pas plus mal." En plus, ses copains ne se moqueront plus de lui, "eux qui me reprochaient toujours de me balader dans un gros 4x4". Alors il signe pour un T-Roc essence de 150 ch, boîte automatique en finition Carat pour 350 euros par mois "pour 3 ans et 60 000 km."
Un kilométrage réduit pour cause de Covid
Après trois semaines d'attente, le T-Roc est enfin prêt et depuis un an que Laurent en est le locataire, l'auto a pris la route des vacances, celle de ses clients et celles des galeries où il expose ses photos, en Arles notamment. "J'ai fait 12 000 km depuis que je l'ai, pas plus." Un kilométrage réduit pour cause de Covid par rapport à ses habitudes, "qui se situent plutôt entre 15 000 et 20 000 kilomètres annuels". S'il trouve le Volkswagen un peu plus inconfortable que le Peugeot, il ne regrette pas son achat pour autant. "Car le moteur est plus pêchu, la place à bord suffisante et le coffre assez grand". Il le rendra dans un peu plus de deux ans. Pour reprendre un Volkswagen ou un Peugeot ? Il n'en a pas la moindre idée. Mais au-delà des qualités qu'il reconnaîtra à son T-Roc à ce moment-là, tout dépendra de l'amabilité et de la compétence du commercial de la première marque. Et du goût pour le fast-food du représentant de la seconde.
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