ESSAI. Renouvelée en 2024, la gamme Série 1 s'élargit à une motorisation essence 122 ch qui constitue la porte d'entrée à l'univers BMW. Reste à savoir si on en a vraiment pour son argent.
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ESSAI - La nouvelle Série 1 conserve l’architecture et la silhouette de sa devancière mais change pourtant du sol au plafond. En France, la version 123 se place dans la gamme comme celle du compromis offrant un niveau de puissance honorable et une transmission intégrale, sans être trop pénalisée par le malus.
ESSAI - La version sportive de la BMW Série 1 ne s’adresse plus aux puristes de la première heure, mais elle compense son relatif manque de caractère par un malus écologique français réduit au maximum par rapport à ses concurrentes de chez Mercedes, Volkswagen ou Audi.
ESSAI - Y a-t-il un intérêt à préférer le diesel sur la nouvelle BMW Série 1 alors que sa motorisation essence est devenue remarquablement frugale ? Oui, mais seulement dans un cadre bien précis.
Pour son 20e anniversaire, la plus petite des BMW s’offre une quatrième génération avec au programme un nouveau look, une présentation intérieure inédite, mais très peu de changements mécaniques.
Essai vidéo - À sa sortie en 2005, la 130i se voulait main de fer dans un gant de velours. À moins de cocher dans les options, elle permettait de disposer d'une cavalerie proche d'une M3 des années 90 tout en conservant la discrétion d'un modèle basique. Une recette plus savoureuse que jamais, à l'heure où des compactes asthmatiques peuvent prendre des allures de GTI… La preuve en images !
À l'heure où les tarifs explosent à l'achat, on peut être tenté de limiter les dépenses avec un moteur d'entrée de gamme, y compris quand on vise un modèle premium comme la BMW Série 1. Encore faut-il que les performances assurent un certain confort de conduite. Souplesse à bas régime, capacités de reprises, confort acoustique : Caradisiac décortique la 116i dans une finition Sport Edition suggestive…
Redevenue BMW préférée des Français cette année, la Série 1 fait renaître l’appellation Ti (Turismo Internazionale) pour combler un vide au sein de sa gamme. Avec 265 ch distribués aux roues avant, la 128 Ti vient directement chasser sur les terres de la Golf GTi.
Quand on imagine une BMW, on ne pense pas forcément à un trois cylindres diesel de 116 ch. C’est pourtant cette motorisation qui siège sous le capot de cette Série 1. Y a-t-il pour autant usurpation d’identité ? Pas forcément.
La nouvelle génération de Série 1 va marquer les esprits. En rompant avec la tradition de la marque à l'hélice (fin de la propulsion et des 6 cylindres), le constructeur bavarois nous livre une compacte toujours plus proche de la concurrence. Cette rentrée dans le rang est-elle une bonne chose? Verdict avec la version 18i de 140 ch.
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