2. Ford Ranger vs Volkswagen Amarok - Sur route : confort en progrès et extrême polyvalence
Nos deux modèles reprennent une architecture similaire. A savoir un châssis en échelle, un essieu arrière rigide, des suspensions à lames (avec possibilité de renforts pour les lourdes charges), un V6 diesel de 240 ch affichant un couple généreux (600 Nm), un transmission intégrale permanente (via un embrayage multidisque), une boîte courte, un blocage de différentiel arrière et enfin une boîte de vitesse automatique à 10 rapports. C’est bien simple, tout est issu de chez Ford. Volkswagen a délégué quelques ingénieurs pour mettre au point un calibrage spécifique pour la direction et les suspensions.
Confort en progrès et polyvalence extrême
Côté motorisation, au volant du V6 diesel, c’est statuquo. Tout est bien agréable. La puissance du moteur comme l’efficacité et la discrétion de la boîte rendent la conduite de ces mastodontes facile, fluide et sans contrainte. Malgré les nombreuses aides à la conduite, la ville est toujours une épreuve pour ces véhicules de 5, 35 m. La consommation, sur les quelques centaines de kilomètres parcourus sur route est standard avec un petit 12 l/100 km, ce qui reste raisonnable pour un engin de ce poids (2 tonnes).
Malgré leur niveau de luxe et d’équipements, ces engins restent avant tout des utilitaires. Leur comportement routier, bien qu’en progrès n’atteindra jamais celui d’un SUV ou d’un 4x4 pur et dur. Et ces deux jumeaux présentent la même tenue de route, alternant entre suspensions sautillantes lorsque la benne est vide et direction floue lorsque la route sillonne. Il est toutefois à noter le niveau de confort en progrès d’une génération à l’autre. Sans parvenir à renier leur gènes d’utilitaires, l’Amarok et le Ranger ont su abaisser le niveau sonore et améliorer l'amortissement année après année, rendant ainsi la conduite sur les grands axes agréable.
Non testés en tout-terrain, les deux concurrents affichent à quelques détails, près les mêmes prétentions : capacité de remorquage, présence d’une boîte courte et d’un blocage de différentiel arrière. Ce sont deux modèles particulièrement adaptés aux métiers extérieurs. Les chefs de chantier, les forestiers ou encore les résidants en montagne apprécieront leur grande polyvalence.
Précisons enfin qu’à finition équivalente, l’Amarok embarque d’avantage d’aides à la conduite de série mais au final c’est un très logique match nul pour ces jumeaux sur la partie dynamique.
Sur la route | Ford Ranger V6 diesel 240 ch Wildtrak | Volkswagen Amarok V6 3.0 TDi Aventura |
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Agrément moteur | ||
Agrément boîte | ||
Amortissement | ||
Dynamisme | ||
Emissions polluantes à l'usage | ||
Insonorisation | ||
Maniabilité | ||
Performance | ||
Position de conduite | ||
Note : | 11,3 /20 | 11,3 /20 |
Sécurité | Ford Ranger V6 diesel 240 ch Wildtrak | Volkswagen Amarok V6 3.0 TDi Aventura |
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Crash-test (Euro Ncap) | ||
Degré maximal d'autonomie | ||
Freinage | ||
Systèmes de sécurité | ||
Visibilité périphérique | ||
Note : | 13,6 /20 | 14 /20 |
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