C'est parti pour cogiter sur une future MV Agusta Dragster qui n'a pourtant montré que son nom sur un réservoir pour se rappeler au bon souvenir de la gente motarde. Mais une furtive apparition suffisante pour susciter tous les fantasmes. Un intérêt qui montre, aussi, le chemin parcouru par la marque de Varese en seulement un an.Car MV Agusta continue sa marche forcée vers l'avant dans une conjoncture portant morose. Multipliant les nouveaux modèles, le blason au passé prestigieux peut être fier de son présent et envisager un bel avenir. En 2014, notamment, on le verra dans les championnat Superbike et Supersport et ce ne sera pas pour faire de la figuration.Mais revenons à notre Dragster. A la lecture de la fiche d'homologation déjà passée, on constate la présence de trois cylindres de 800cc déjà connu mais avec près de 200 ch. Ce qui a étonné les gars de Motociclismo, qui se sont interrogés comment cette cavalerie pouvait arriver sur le gommard postérieur. Du coup, ils n'imaginent pas le caractère d'une Rivale ou d'une Turismo Veloce.Pour faire fumer le pneu arrière, les Italiens pensent à l'arrivée d'un turbo greffé sur le trois cylindres. De quoi, aussi, expliquer ce nom martial de Dragster qui appelle à la prise de responsabilité. A suivre !