Par Au Fou
on peut en lire des inepties sur ce site !
La Junior, voiture miracle !!
juste une Peugeot 2008 recarrossée et au moteur Puretech
Et si Alfa Romeo devenait le ticket gagnant de Stellantis ?
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Par Au Fou
on peut en lire des inepties sur ce site !
La Junior, voiture miracle !!
juste une Peugeot 2008 recarrossée et au moteur Puretech
Par fedoismyname
Quand on commence à s'intéresser de près à ce que ces nouvelles Alfa embarquent, en terme de motorisation, ça ne fait tout de même plus trop rêver.
Mais chez Alfa, c'est comme chez Mazda, ils ont le chic pour faire des caisses au joli design.
Et comme le design est l'un des deux critères d'achat principaux (avec le prix), forcément, ça aide, pour les ventes.
Par ChatMallow
"La marque ne plie pas, et se met en mode « vous allez voir ce que vous allez voir" Du DS dans le texte...
Par matrix71
Alfa c'est juste pour tiré le prix vers le haut avec des plateformes bas de gamme
Par Lolobjectif
esthétiquement, il est plutôt sympa ce junior. Dommage que les bases soient si mauvaise et les moteurs si peu fiables, sans compter la technologie à la ramasse...
Par F18Hornet
Intéressante théorie !
Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.
Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.
+++++
Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.
Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?
PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).
Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.
Supprimer des marques chez Stellantis ?
Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.
Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.
++++++
Par Dimhop
C'est encore un peu tôt pour parler de miracle. Car effectivement, +50% sur des volumes devenus très faibles, cela représente du mieux mais on ne pourra parler de reprise que si ce +50% de 2025 s'accompagne d'un pourcentage de hausse à encore +20% au moins en 2026. Mais effectivement, il vaut mieux avoir ces indicateurs que les indicateurs actuels de Ds.
Par roc et gravillon
Il est tout excité notre Tonton Michel là... il a vu passer 2 Alfa ce lundi devant le café de son futur reportage ?
Une hirondelle ne fait pas le printemps... la preuve, il fait un temps à rester chez soi !
Par Critias
Une Alfa c'est un style avec un moteur. Avec les modèles "Stellantisés" on a ni l'un, ni l'autre.
Par Critias
En réponse à F18Hornet
Intéressante théorie !
Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.
Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.
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Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.
Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?
PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).
Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.
Supprimer des marques chez Stellantis ?
Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.
Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.
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"Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?"
Rectification, Stellantis estceb difficulté A CAUSE de Tavares.
Concernant son remplacent, selon des sources italiennes, il serait désigné en interne. Et deux noms émergent : Antonio Filosa et Maxime Picat. Le premier aurait les faveurs d'Elkann, le second des Peugeot (logique). Wait and see.
Par Critias
La raison du succès du Junior (Et encore, succès, tout est relatif, son démarrage avait été moins bon que celui du Tonale) ? Un prix plus accessible pour une Alfa. Pour le reste,...
Par Critias
En réponse à Critias
"Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?"
Rectification, Stellantis estceb difficulté A CAUSE de Tavares.
Concernant son remplacent, selon des sources italiennes, il serait désigné en interne. Et deux noms émergent : Antonio Filosa et Maxime Picat. Le premier aurait les faveurs d'Elkann, le second des Peugeot (logique). Wait and see.
Est en difficulté
Par Lapierre
Une base PSA, tu m'étonnes que ça se vend bien mieux.
Bravo stellantis
Par Jhonny Disquette
Je précise que ça n'est pas mon cas, mais j'imagine que quitte à acheter une clown/copie/poupée russe de 2008, Mokka et autre, autant prendre celui qui a le plus de gueule ?
Par Jeremy Tsubishi
En réponse à F18Hornet
Intéressante théorie !
Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.
Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.
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Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.
Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?
PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).
Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.
Supprimer des marques chez Stellantis ?
Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.
Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.
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Je n'arrête pas de le marteler, les memes causes provoquent les memes conséquences que GM il y a 20 ans: dilution des moyens, sous investissement, scandales techniques, gestion de la qualité absente, pas de gestion de la satisfaction client, plan produit stupide avec concurrence interne, répartition mondiale trop centrée sur quelques marchés Européens ou Américains, retards technologiques criants.
Citroen, DS, Lancia ou Maserati sont bons pour la benne.
Opel, Maserati ou Alfa sont à peine "bankable" pour un rachat chinois sachant qu'il n'y a pas d'autres acheteurs: allemands en plein marasme, Ford et GM devenus mineurs, Japonais en pleine concentration et Coréen absolument pas dans la mouvance de multiplier les blasons à outrance (Genesis reste à consolider).
Le groupe est dans une spirale ou pour rassurer sur la qualité il va falloir proposer une rupture avec un investissement lourd: véritables nouveaux blocs (au moins 3! ), garanties natives longues sans surcout client.
Et réinjecter beaucoup de cash dans la partie américaine du groupe avec des gammes a rafraîchir et agrandir urgement (Dodge a peine 2 modèles), monoculture RAM, Chrysler en mort cérébrale et un Jeep centré sur deux modèles à peine (j'enlève les produits italiens aux USA en plein naufrage)
Et visiblement il y a deja un grave problème de management dans ce groupe...
Par al7785
Ou alors, les fans d'Alfa Romeo attendaient une voiture plus petite et ils l'ont enfin eue même si c'est un SUV.
Au fait, 2020 était la dernière année de vente de la Giulietta donc j'ai bien l'impression que la raison que je mentionne est la bonne pour expliquer le regain des ventes.
Par RR69
belle auto ce Junior, mais grosse daube au niveau fiabilité, les acheteurs sont-ils tous des boeufs ou bien achètent-ils en LDD - LOA et en ont rien à faire de la fiabilité à moyen terme?
Par Daciaman
La progression ne veut pas dire grand chose avec des chiffres de départ si bas. Ça ne sent pas bon pour alfa Romeo.
Par hyvo
Et si ma tante en avait. Malheureusement c'est mon oncle. Vu le nombre de vente de cette marque actuellement, même si elle fait plus 20% rien de significatif.
Par franck8316
Une descente en gamme permet toujours d'améliorer les ventes rien de surprenant !
Par 360Magnum
La bonne blague le nombre de fois où on nous a crié la renaissance de cette marque pour qu'elle reste à la marge mourante
Par polo_wtcc
Comment manipuler les chiffres, effectivement les pourcentages sont pas mal mais l'auteur ne donne pas les chiffres de vente car ils ne sont pas fameux, Alfa Romeo écoule environ 700 véhicules par mois en France!
Par Maître-Yoda
En réponse à F18Hornet
Intéressante théorie !
Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.
Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.
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Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.
Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?
PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).
Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.
Supprimer des marques chez Stellantis ?
Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.
Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.
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J'aime bien la propagande journalistique chauvine : "Stellantis est en difficulté depuis le départ de Tavares.".
Les gars, tout le monde sait que Stellantis est en difficulté À CAUSE de Tavares...
Par Maître-Yoda
En réponse à polo_wtcc
Comment manipuler les chiffres, effectivement les pourcentages sont pas mal mais l'auteur ne donne pas les chiffres de vente car ils ne sont pas fameux, Alfa Romeo écoule environ 700 véhicules par mois en France!
Le pire c'est qu'ils ont le kikitoudur car ils arrivent à vendre quelques Junior, mais s'ils avaient sorti une vraie descendante à la Giulietta ils en auraient vendu le double...
Je dis bien une vraie : moteur FCA et design du Centro Stile. Pas PureToc et design PSA-Playmobil...
Par Maître-Yoda
Ça se vend juste parce-que le Junior est sur un segment qui fait beaucoup de ventes, et que les gens sont ignorants.
Justement, chaque personne s'y connaissant fuit en entendant que c'est du PSA.
Par Maître-Yoda
En réponse à Critias
"Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?"
Rectification, Stellantis estceb difficulté A CAUSE de Tavares.
Concernant son remplacent, selon des sources italiennes, il serait désigné en interne. Et deux noms émergent : Antonio Filosa et Maxime Picat. Le premier aurait les faveurs d'Elkann, le second des Peugeot (logique). Wait and see.
Je n'avais même pas vu ton commentaire.
Pour ce qui est du futur CEO, si Elkann choisit à nouveau un ex-PSA ce serait décidément le dirigeant le plus nul au monde.
Par Maître-Yoda
En réponse à franck8316
Une descente en gamme permet toujours d'améliorer les ventes rien de surprenant !
C'est ça.
Par Salva
Une Alfa Roméo se doit d' être une propulsion .
Par F18Hornet
Oh le binz !
https://www.italpassion.fr/fiat/fiat-contre-speculation-la-justice-algerienne-passe-a-laction/
Par F18Hornet
Mais quel binz chez Stellantis !
https://www.italpassion.fr/fiat/fiat-grande-panda-un-ouvrier-italien-en-serbie-devoile-les-vraies-difficultes-de-production/
Par F18Hornet
Comme dit l’adage pas deux sans trois (binz)…
https://www.italpassion.fr/maserati/maserati-retour-des-rumeurs-de-vente-aux-chinois-stellantis-reagit/
Par niakola
En réponse à F18Hornet
Intéressante théorie !
Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.
Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.
+++++
Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.
Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?
PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).
Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.
Supprimer des marques chez Stellantis ?
Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.
Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.
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Fiat est devenue la marque faible... et va finir comme Seat ? ou pire, disparaître comme oldsmobile ?
Stellantis garderait-il seulement Peugeot, Citroën, Lancia deviendrait un Cupra bis+ Alfa Romeo et Dodge Ram, Jeep ?
Exit Maserati, Ds, Opel, Fiat,() Autobianchi Chrysler...
Par p.martin.pm
En réponse à F18Hornet
Mais quel binz chez Stellantis !
https://www.italpassion.fr/fiat/fiat-grande-panda-un-ouvrier-italien-en-serbie-devoile-les-vraies-difficultes-de-production/
Cela résume bien Fiat et l'Italie.Même quand ils ont un boulevard vers une réussite,ils arrivent à merder.
Par Davidsic
Alfa Romeo a souvent trainé (a tord ou a raison) une mauvaise réputation en terme de fiabilité (les italiennes en général)et une fois qu'un certains nombre de proprios du Junior auront des problèmes en cascades la mauvaise réputation refera surface avec des commentaires genres les italiennes c'est vraiment de la saloperie alors que la cause sera que c'est un produit dérivé de produit PSA devenu le champion de la qualité désastreuse mais la plupart ne retreindrons pas ça, ils diront juste que les italiennes c'est de la m***e et Alfa sera définitivement foutu !
Par henri13enforme
Tout ce qui a un rapport avec stellantis et donc Peugeot Citroën est à mettre à la poubelle.
De la demer comme disait Jean-Pierre Coffe.
Poubelle ces choses immondes.
Par franpir21
Pas besoin de se fatiguer à faire des voitures puissantes, luxueuses ou révolutionnaires.
Un SUV urbain, des motorisations et un prix de de caisse de roumain, une marque légendaire dans le coma et c'est gagné.
Par roc et gravillon
En réponse à F18Hornet
Mais quel binz chez Stellantis !
https://www.italpassion.fr/fiat/fiat-grande-panda-un-ouvrier-italien-en-serbie-devoile-les-vraies-difficultes-de-production/
Décidément, bien renseignés les gens de ce site... cependant, ils feraient bien de préciser que l'ouvrier italien acceptant d'échapper au chômage technique envoyé en Serbie garde son salaire italien + les indemnités journalières ici rappelées (60 € les jours type week-end) + indemnités de retour ponctuelles.
Ce qui doit clairement plomber la rentabilité de l'externalisation.
On y apprend qu'ainsi, certaines C3 y sont également produites (en sus de la Slovaquie): vachement cohérent, quand ils ne sont pas foutus de tenir le programme de montée en cadence des Fiat.
On ne peut décidément que grandement s'inquiéter de l'avenir de ce groupe, incapable d'avoir prévu industriellement des années à l'avance le programme d'un modèle ultra-basique ayant pour nom Panda. Ajoutons Ypsilon... les 2 caisses qui se vendaient encore correctement en Italie.
Enfin, contrairement à ce qui est écrit, avec 60€ par jour, en province serbe, tu te tapes 2 restau de qualité là bas, et tu pourras laisser de sacrés pourboires aux loufiats...
Par roc et gravillon
En réponse à F18Hornet
Comme dit l’adage pas deux sans trois (binz)…
https://www.italpassion.fr/maserati/maserati-retour-des-rumeurs-de-vente-aux-chinois-stellantis-reagit/
... et il faudra bien faire entrer du cash pour contribuer à sauver Stellantis.
Les chiffres Fiat + Maserati du premier trimestre sont catastrophiques...
La 600 pour exemple, ne se vend absolument pas... pourtant censée rapporter un peu plus d'encaisse que la vieille Panda qui, rappelons-le, a représenté près de 70% des ventes de la marque en Italie l'an dernier.
Maserati, marque sous assistance respiratoire ne pourra donc qu'être revendue, la portance du nom étant encore réelle, pour qui saura tenter le pari d'une nouvelle relance...
Par Maître-Yoda
En réponse à roc et gravillon
... et il faudra bien faire entrer du cash pour contribuer à sauver Stellantis.
Les chiffres Fiat + Maserati du premier trimestre sont catastrophiques...
La 600 pour exemple, ne se vend absolument pas... pourtant censée rapporter un peu plus d'encaisse que la vieille Panda qui, rappelons-le, a représenté près de 70% des ventes de la marque en Italie l'an dernier.
Maserati, marque sous assistance respiratoire ne pourra donc qu'être revendue, la portance du nom étant encore réelle, pour qui saura tenter le pari d'une nouvelle relance...
Ils sont juste gavé de thunes comme jamais chez Stellantis, aucunement besoin de revendre des marques, ils font juste le choix de ne pas investir et Elkann qui a déjà bien commencé à vendre les bijoux de famille (Comau, Magnetti-Marelli...) ne s'arrêtera peut-être pas là...
Par Maître-Yoda
"Il faut bien faire rentrer du cash chez Stellantis..."
Alors celle-là, une pépite...
Par Maître-Yoda
En réponse à roc et gravillon
Décidément, bien renseignés les gens de ce site... cependant, ils feraient bien de préciser que l'ouvrier italien acceptant d'échapper au chômage technique envoyé en Serbie garde son salaire italien + les indemnités journalières ici rappelées (60 € les jours type week-end) + indemnités de retour ponctuelles.
Ce qui doit clairement plomber la rentabilité de l'externalisation.
On y apprend qu'ainsi, certaines C3 y sont également produites (en sus de la Slovaquie): vachement cohérent, quand ils ne sont pas foutus de tenir le programme de montée en cadence des Fiat.
On ne peut décidément que grandement s'inquiéter de l'avenir de ce groupe, incapable d'avoir prévu industriellement des années à l'avance le programme d'un modèle ultra-basique ayant pour nom Panda. Ajoutons Ypsilon... les 2 caisses qui se vendaient encore correctement en Italie.
Enfin, contrairement à ce qui est écrit, avec 60€ par jour, en province serbe, tu te tapes 2 restau de qualité là bas, et tu pourras laisser de sacrés pourboires aux loufiats...
Bah vas-y, puisque la Serbie est ton eldorado
Par Brutus1
Si les problèmes du 1.2 modifié réapparaissent sur le Junior, c'est la mort d'Alfa Roméo, assurée. Déjà que l'habitacle a été bâclé, la qualité attendue n'est pas au rendez-vous. La Véloce électrique de 280cv, est extrêmement chère pour l'autonomie réelle, façon Alpine A290
Par Maître-Yoda
En réponse à p.martin.pm
Cela résume bien Fiat et l'Italie.Même quand ils ont un boulevard vers une réussite,ils arrivent à merder.
Lol
Absolument tous les décideurs à ce moment, et même encore maintenant, viennent de chez PSA.
Directeur du design : Ploué.
Directeur des marques : Imparato.
CEO : Tavares.
Par Maître-Yoda
En réponse à niakola
Fiat est devenue la marque faible... et va finir comme Seat ? ou pire, disparaître comme oldsmobile ?
Stellantis garderait-il seulement Peugeot, Citroën, Lancia deviendrait un Cupra bis+ Alfa Romeo et Dodge Ram, Jeep ?
Exit Maserati, Ds, Opel, Fiat,() Autobianchi Chrysler...
Pour l'instant faut comprendre que "Stellantis" ne veut rien dire.
Ya juste 2 mariés qui ne savent pas se blairer dans le même lit (la famille Peugeot et Elkann) et qui se tirent la couette.
Pour l'instant Elkann dort dans le froid, et depuis le début.
Par Maître-Yoda
En réponse à Maître-Yoda
Pour l'instant faut comprendre que "Stellantis" ne veut rien dire.
Ya juste 2 mariés qui ne savent pas se blairer dans le même lit (la famille Peugeot et Elkann) et qui se tirent la couette.
Pour l'instant Elkann dort dans le froid, et depuis le début.
Et si Elkann laisse à nouveau la famille Peugeot placer un nouveau CEO de chez ex-PSA malgré le désastre Tavares, ce sera décidément la plus grosse lavette de l'histoire automobile.
Par roc et gravillon
T'as été où dans ta vie Méluche-Man ?
Ce qu'il y a de bien chez toi est qu'à minima, tu as le papier rose en poche, contrairement à ton héros.
Qui aura passé sa vie a être dépendant des autres pour sa mobilité, et fait payer par ses partis politique ou frais de perpétuel élu (comprendre par le peuple) des centaines de factures de taxi ou d'Hubert (avec protection sociale au top).
Et ça voudrait diriger le pays !
Par al7785
36.000 Junior vendus au premier trimestre de cette année. 18 % sont électriques.
Par roc et gravillon
En réponse à Maître-Yoda
Ils sont juste gavé de thunes comme jamais chez Stellantis, aucunement besoin de revendre des marques, ils font juste le choix de ne pas investir et Elkann qui a déjà bien commencé à vendre les bijoux de famille (Comau, Magnetti-Marelli...) ne s'arrêtera peut-être pas là...
Ça... c'était avant pour la première phrase.
Par al7785
36.000 Junior vendus sur les trois derniers mois dont 18 % en électrique.
Par PLexus sol-air
En réponse à Au Fou
on peut en lire des inepties sur ce site !
La Junior, voiture miracle !!
juste une Peugeot 2008 recarrossée et au moteur Puretech
Chuuut, faut plus l'appeler comme ça !
Par mod
J' ai un Stelvio essence et je vais le garder ! Ceci dit si le junior est une 2008 camouflée il est plus beau et moins cher, alors...
Par Jeanluc8
Une 2008 avec un puretech fabriqué en Pologne.... Ça fait rêver
Par integralhf
Quel magnifique blason, inégalable dans la sphère automobile, dommage que les dirigeants soient aussi mauvais dans leur choix
Par antho86_
J'ai un Stelvio 280, une vraie alfa avec la Giulia avec le chassis Giorgio dont les qualités moteur/chassis ne sont plus à démontrer.
Malheureusement les premiers croquis du nouveau Stelvio ne m'enchante pas vraiment ni les premières données techniques (STLA large, exit la Giorgio).
Je pense que ce sera sans moi, car une Alfa c'est un châssis, un moteur et des sensations de conduite, et de ce fait, on lui pardonne ses quelques (rares) défauts.
Ça ne me gêne pas qu'il y ait des modèles à volume comme ce Junior, mais le haut de gamme doit rester dans l'ADN de la marque comme l'était Giulia et Stelvio actuel.
S'il nous ressortent un couple Giulia/Stelvio aussi bon que les versions actuelles, je re-signe tout de suite, mais j'y crois pas trop.
Par anneaux nîmes.
Qui a écrit ce ramassis de bêtises?
Non mais sérieux....On va reprendre quelques chiffres...
1er trimestre 2025.
Alfa Roméo....16 101 ventes UE.
1er trimestre 2024.
Alfa Roméo...12 012 ventes UE.
Progression... 34%.
Alors pour mémoire. passer de 10 à 20 (+10) ventes c'est +100%.
Passer de 100 000 à 101 000 (+1 000) ventes c'est +1%.
Alors déjà quand on part de si loin il n'est pas compliqué en parlant en %tage de faire parler des chiffres.
De plus on notera que cette progression se fait avec 2 modèles à grandes diffusions possibles. Tonale, et Junior.
Modèles qui sur leur créneaux respectifs se font littéralement atomiser par la concurrence, tout comme la Giulia et le Stelvio sur le leur.
D'ailleurs ceux qui vomissent sur le Peugeot 2008 recarossé devraient tourner 7 fois leur langue dans leur bouche avant de dire de la merde.
Parce que pour le moment si Alfa Roméo est en vie c'est précisément grâce à lui....
Et certainement pas aux "Vrais" Alfa s'ils n'ont jamais achetées.
Bref, moi je veux bien qu'on tire des plans sur la comète avec le revival d'alfa, mais pour le moment on ne peut pas dire que ce soit l'euphorie.
La seule chose qui permet à cette marque d'être rentable. pour peu qu'elle le soit, c'est d'avoir pioché sur les étagères des autres les éléments de leurs caisses et donc de s'éviter tout ce qui coûte le plus cher.. Le développement.
Et de toute façon il y aura des morts chez Stellantis. Alfa, Lancia et DS ne pourront être à trois sur le même créneau, d'autant plus que xelui-ci est ultra domineé par des concurrents.
Par keul
En réponse à antho86_
J'ai un Stelvio 280, une vraie alfa avec la Giulia avec le chassis Giorgio dont les qualités moteur/chassis ne sont plus à démontrer.
Malheureusement les premiers croquis du nouveau Stelvio ne m'enchante pas vraiment ni les premières données techniques (STLA large, exit la Giorgio).
Je pense que ce sera sans moi, car une Alfa c'est un châssis, un moteur et des sensations de conduite, et de ce fait, on lui pardonne ses quelques (rares) défauts.
Ça ne me gêne pas qu'il y ait des modèles à volume comme ce Junior, mais le haut de gamme doit rester dans l'ADN de la marque comme l'était Giulia et Stelvio actuel.
S'il nous ressortent un couple Giulia/Stelvio aussi bon que les versions actuelles, je re-signe tout de suite, mais j'y crois pas trop.
Pour info, la plateforme STLA-L est une grosse évolution de la Giorgio, notamment pour intégrer l'électrification. Et elle est réservée aux modèles les plus haut de gamme de Stellantis.
Beaucoup pensent, à tort, que la future Giulia et le futur Stelvio seront des clones de DS8 et 3008.....sauf que les 2 français sont basés sur la STLA-M qui dérive d'une plateforme PSA, donc techniquement très différents.
Donc rassurez-vous, le côté plus exclusif des grandes ALFA devrait être conservés. Et en effet, un produit plus roturier dans le but de faire du volume, comme le Junior actuellement (mais aussi comme les MiTo/145/147/Giulietta en leur temps), n'est pas plus gênant que ça en réalité dès lors que l'on conserve l'ADN sportif sur des modèles HDG de segment supérieur.
D'ailleurs, ceux sont bien plus souvent les modèles roturiers qui ont permis à ALFA de survivre, afin de lui permettre de nous faire rêver avec des modèles plus "excitant". L'un ne va pas sans l'autre à mon humble avis.
Par roc et gravillon
Le Squale a mis en lumière toutes ses qualités de comptable émérite dans ce dernier post.
Et pour le coup, il a bien raison...
ajoutons qu'on peut imaginer aussi que les rares prospects ayant été dans une concession du groupe Italien (souvent multimarques) ont pu signer pour une Junior à la place d'une Fiat 600, catastrophe industrielle s'il en est...
Mais au cumul, ça ne fait pas de ventes en plus pour Stellantis.
Par Bloooky
la version toutes options et hors de prix, en dépit d'un intéressant autobloquant.
Par Critias
En réponse à anneaux nîmes.
Qui a écrit ce ramassis de bêtises?
Non mais sérieux....On va reprendre quelques chiffres...
1er trimestre 2025.
Alfa Roméo....16 101 ventes UE.
1er trimestre 2024.
Alfa Roméo...12 012 ventes UE.
Progression... 34%.
Alors pour mémoire. passer de 10 à 20 (+10) ventes c'est +100%.
Passer de 100 000 à 101 000 (+1 000) ventes c'est +1%.
Alors déjà quand on part de si loin il n'est pas compliqué en parlant en %tage de faire parler des chiffres.
De plus on notera que cette progression se fait avec 2 modèles à grandes diffusions possibles. Tonale, et Junior.
Modèles qui sur leur créneaux respectifs se font littéralement atomiser par la concurrence, tout comme la Giulia et le Stelvio sur le leur.
D'ailleurs ceux qui vomissent sur le Peugeot 2008 recarossé devraient tourner 7 fois leur langue dans leur bouche avant de dire de la merde.
Parce que pour le moment si Alfa Roméo est en vie c'est précisément grâce à lui....
Et certainement pas aux "Vrais" Alfa s'ils n'ont jamais achetées.
Bref, moi je veux bien qu'on tire des plans sur la comète avec le revival d'alfa, mais pour le moment on ne peut pas dire que ce soit l'euphorie.
La seule chose qui permet à cette marque d'être rentable. pour peu qu'elle le soit, c'est d'avoir pioché sur les étagères des autres les éléments de leurs caisses et donc de s'éviter tout ce qui coûte le plus cher.. Le développement.
Et de toute façon il y aura des morts chez Stellantis. Alfa, Lancia et DS ne pourront être à trois sur le même créneau, d'autant plus que xelui-ci est ultra domineé par des concurrents.
"D'ailleurs ceux qui vomissent sur le Peugeot 2008 recarossé devraient tourner 7 fois leur langue dans leur bouche avant de dire de la merde.
Parce que pour le moment si Alfa Roméo est en vie c'est précisément grâce à lui....
Et certainement pas aux "Vrais" Alfa s'ils n'ont jamais achetées."
Si Alfa Romeo est encore en vie, c'est avant tout grâce au coups de gueule des fans de la marque. Ce n'est certainement pas grâce à un petit SUV "by Peugeot" - qui, au passage, a fait un démarrage moins fort que le Tonale en son temps - on en rediscutera dans un an. Moi ce que j'attends surtout, c'est de voir le nombre de modèles en occasion - histoire de me marrer - quand les clients-pigeons découvriront qu'il est motorisé par le "wonderfull PureTech engine".
Par Critias
En réponse à anneaux nîmes.
Qui a écrit ce ramassis de bêtises?
Non mais sérieux....On va reprendre quelques chiffres...
1er trimestre 2025.
Alfa Roméo....16 101 ventes UE.
1er trimestre 2024.
Alfa Roméo...12 012 ventes UE.
Progression... 34%.
Alors pour mémoire. passer de 10 à 20 (+10) ventes c'est +100%.
Passer de 100 000 à 101 000 (+1 000) ventes c'est +1%.
Alors déjà quand on part de si loin il n'est pas compliqué en parlant en %tage de faire parler des chiffres.
De plus on notera que cette progression se fait avec 2 modèles à grandes diffusions possibles. Tonale, et Junior.
Modèles qui sur leur créneaux respectifs se font littéralement atomiser par la concurrence, tout comme la Giulia et le Stelvio sur le leur.
D'ailleurs ceux qui vomissent sur le Peugeot 2008 recarossé devraient tourner 7 fois leur langue dans leur bouche avant de dire de la merde.
Parce que pour le moment si Alfa Roméo est en vie c'est précisément grâce à lui....
Et certainement pas aux "Vrais" Alfa s'ils n'ont jamais achetées.
Bref, moi je veux bien qu'on tire des plans sur la comète avec le revival d'alfa, mais pour le moment on ne peut pas dire que ce soit l'euphorie.
La seule chose qui permet à cette marque d'être rentable. pour peu qu'elle le soit, c'est d'avoir pioché sur les étagères des autres les éléments de leurs caisses et donc de s'éviter tout ce qui coûte le plus cher.. Le développement.
Et de toute façon il y aura des morts chez Stellantis. Alfa, Lancia et DS ne pourront être à trois sur le même créneau, d'autant plus que xelui-ci est ultra domineé par des concurrents.
En plus, l'argument est ridicule puisqu'il est logique de faire plus de ventes avec un modèle... de grande diffusion. C'est du niveau "les BAM ont dans leur gamme des modèles essence de 600ch... alors qu'ils faisaient l'essentiel de leur vente avec des moteurs diesel ".
Par Critias
En réponse à niakola
Fiat est devenue la marque faible... et va finir comme Seat ? ou pire, disparaître comme oldsmobile ?
Stellantis garderait-il seulement Peugeot, Citroën, Lancia deviendrait un Cupra bis+ Alfa Romeo et Dodge Ram, Jeep ?
Exit Maserati, Ds, Opel, Fiat,() Autobianchi Chrysler...
Fiat est la marque numéro une chez Stellantis pour la troisième année consécutive. Elle est numéro une au Brésil , en Turquie et en Algérie (et oui les ventes ne se limitent pas à la seule Europe). Pas mal pour une marque "faible".
Par Critias
En réponse à Maître-Yoda
Lol
Absolument tous les décideurs à ce moment, et même encore maintenant, viennent de chez PSA.
Directeur du design : Ploué.
Directeur des marques : Imparato.
CEO : Tavares.
Tavares a dégagé... poussé par Elkann, Imparato n'est pas le Big Boss. N'oublies pas que la partie américaine ducgroupecest gérée par Antonio Filosa, "Stellantisibile", qui vient de chez FCA.
Par p.martin.pm
En réponse à Maître-Yoda
Lol
Absolument tous les décideurs à ce moment, et même encore maintenant, viennent de chez PSA.
Directeur du design : Ploué.
Directeur des marques : Imparato.
CEO : Tavares.
Ils n'ont pas attendu Peugeot et Tavares pour faire des âneries.Un exemple parmi tant d'autres:je ne sais plus le modèle Alfa (Spider??)qui plaisait beaucoup aux Anglais et surtout Japonais,qu'ils ont sorti en ne prévoyant pas un volant à droite,qui aurait pu faire de ce modèle un carton.Que dire de Fiat,aux USA depuis les débuts 1900,pas foutu de s'implanter durablement,alors qu'il avait les capacités et un marché....etc etc
Par anneaux nîmes.
En réponse à Critias
"D'ailleurs ceux qui vomissent sur le Peugeot 2008 recarossé devraient tourner 7 fois leur langue dans leur bouche avant de dire de la merde.
Parce que pour le moment si Alfa Roméo est en vie c'est précisément grâce à lui....
Et certainement pas aux "Vrais" Alfa s'ils n'ont jamais achetées."
Si Alfa Romeo est encore en vie, c'est avant tout grâce au coups de gueule des fans de la marque. Ce n'est certainement pas grâce à un petit SUV "by Peugeot" - qui, au passage, a fait un démarrage moins fort que le Tonale en son temps - on en rediscutera dans un an. Moi ce que j'attends surtout, c'est de voir le nombre de modèles en occasion - histoire de me marrer - quand les clients-pigeons découvriront qu'il est motorisé par le "wonderfull PureTech engine".
Aux coups de gueule des fanboys?
Lol.
Parce que vous croyez que lorsqu'une marque est en totale perdition comme Alfa depuis plus de 15 ans ce sont les vociférations de quelques fansboys qui n'en achetent pas qui font que la marque est toujours là?
lol.
Par Krypton043
Ticket gagnant sans l'âme Alfa Romeo ?
Par Critias
En réponse à anneaux nîmes.
Aux coups de gueule des fanboys?
Lol.
Parce que vous croyez que lorsqu'une marque est en totale perdition comme Alfa depuis plus de 15 ans ce sont les vociférations de quelques fansboys qui n'en achetent pas qui font que la marque est toujours là?
lol.
Parce que tu crois sincèrement que c'est juste un modèle à peine sorti qui a sauvé la marque ?
Lol.
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