Commentaires - Citroën ë-C3 vs Dacia Spring: le cheap, c'est chic

"On évolue toutefois dans une zone un peu incertaine en termes de législation, puisque le Code de la route nous interdit d’utiliser notre smartphone au volant, ce qui est normal, mais celui-ci fait ici partie intégrante de l’écosystème de la voiture."

Quand est-ce que les politiques ou les journalistes vont s'emparer de ce dossier : utilisation des téléphones (même en kit main libre) interdit mais des écrans toujours plus nombreux dans nos voitures avec possibilité de lire/écouter/dicter/converser en bluetooth.

Tout ça est bien hypocrite et comme d'habitude le législateur à 1 000 ans de retard après les industriels automobiles pour rendre cohérent et lisibles ces règles.

La ëC3 sans hésiter, supérieure dans tous les domaines, mais seulement une fois tous les bugs corrigés.

La Spring est sympa, mais à 13-15 k€ max.

Sinon je pensais que la Spring était encore plus mal face à l'e-C3.

C'est dire.

Mais je note que le journaliste ne s'attarde pas trop sur le bas de gamme de la Citroën qui fait vraiment pitié.

Heureusement que dans le cadre limité d'un trajet domicile/travail de quelque km ça reste correcte.

Mais bon...

Sur la E C3 de base, ils auraient pu mettre un emplacement 1 Din pour mettre une radio en "after market" avec Bluetooth. C'est mesquin.

Ben le journaliste se trompe.

Infraction.

R412-6-1.

"L'usage d'un téléphone tenu en main par le conducteur d'un véhicule en circulation est interdit."

TENU EN MAIN!!!

Donc pas accroché au tableau de bord.

Pour le reste, les écrans et bla bla bla....c'est du vent.

Il n'y a pas plus de danger à regarder l'écran pour régler la température de la clim ou le GPS qu'à regarder ce qui se passe sur le trottoir de droite.

Si l'ont est trop bête pour le faire au moment inopportun c'est plus du domaine de Darwinisme que de la sécurité routière.

Sinon je pensais que la Spring était encore plus mal face à l'e-C3.

C'est dire.

Mais je note que le journaliste ne s'attarde pas trop sur le bas de gamme de la Citroën qui fait vraiment pitié.

Heureusement que dans le cadre limité d'un trajet domicile/travail de quelque km ça reste correcte.

Mais bon...

comme prévu la Citroën ECRASE la Dacia. y'a pas match.

la Spring est largué dans tous les domaines.

la eC3 visiblement non bugguée ... gagne le comparo très facile . vivement la PANDA encore plus joviale.

Apres pour les amateurs de plastiques moussés ( visiblement c'est hyper important pour certains ) ... faut juste mettre 10.000 balles de plus sur le cheque pour une 4L ( moussée juste sur le dessus du tableau de bord hein ! ) , une R5, ou une e208.... ça calme.

pour le quotidien, ça fera hyper bien le job. et ça, visiblement ça en excite plus d'un ici !

voila pk ça va se vendre : le meilleur Rapport Prix/ autonomie en 100% elec du marché... c'est la eC3.

A un moment donné va falloir arrêter d écrire n importe quoi.....acheter un VE à 20000 euros pour faire quelques km.autour de chez soi ?!!! Et avoir un VT pour le reste !!!

Se rend on compte de l ineptie de la chose ? De l hypocrisie et de la schizophrénie de la situation ?

On prend un bon vélo à 1000 euros et ca fera largement le job !!!!!

On nous invite à limiter nos déplacements en bagnole à se déplacer autrement, moins mais mieux et on fait l apologie du VE non polyvalent juste pour faure quelques km autour de chez soi .....je sais pas.....faut se poser les bonnes questions à un moment donné !!!!!

On vit dans un monde de plus en plus délirant et aberrant et tout le monde trouve ça normal....de bons moutons bien dociles qui ne regarde pas plus loin que le bout de leur nez ....

 Je suis révolté ! » : pour prolonger la vie de sa voiture électrique, il est invité à payer 36 000 €

Par Paul GRISOT.

« Ça ne va pas pousser les gens à changer ». Possesseur d’une voiture électrique vieillissante, un habitant du pays de Fougères, en Bretagne, s’est renseigné pour remplacer la batterie et lui donner une seconde vie. Surpris du montant du devis, il dénonce « un modèle basé sur l’obsolescence programmée ».

Alors que l’essor de la voiture électrique est un au centre des débats sur le futur des mobilités, la question des réparations n’est pas souvent abordée. C’est pourtant ce que veut faire Fabrice Haleux, habitant de Rives-du-Couesnon, une commune située entre Rennes et Fougères (Ille-et-Vilaine). Il y a cinq ans, cet expert-comptable acquiert une petite voiture électrique d’occasion, une Kia Soul, pour faire chaque jour la centaine de kilomètres aller-retour entre son domicile et son bureau à Rennes.

« J’ai fait ce choix pour des raisons économiques et environnementales, explique-t-il. Et cette voiture correspond parfaitement à mes attentes. » Mais depuis quelques mois, la batterie de sa voiture - âgée de presque 9 ans - perd en autonomie. « La batterie se dégrade, ce qui est parfaitement normal, poursuit-il. J’ai donc souhaité la remplacer, même à un coût élevé, pour éviter de voir ce véhicule, qui est en très bon état par ailleurs, partir à la casse. »

« Le prix d’un modèle neuf »

Début octobre, il se rend donc dans une concession Kia, le seul endroit habilité à effectuer un changement de batterie, pour demander un devis. S’il s’attendait à un montant élevé, il ne pensait pas à une telle tuile. « Le montant était de 36 310 €, souffle-t-il. Je n’y croyais pas ! Pour information, c’est à peu près le prix d’un modèle neuf de Kia, le EV3. »

Fabrice Haleux pointe l’attitude du concessionnaire et de la marque, qui n’en fait pas assez, selon lui, pour l’accompagner dans la réparation de sa voiture vieillissante. « Comme vous pouvez l’imaginer, je suis révolté, poursuit-il. C’est la preuve par A + B que leur stratégie est d’avoir un business model basé sur l’obsolescence programmée. Pour moi, c’est comme s’ils ne voulaient pas faire de réparation. Mais je n’ai pas d’autre choix, puisqu’on a aucun moyen de faire changer sa batterie chez un indépendant. »

« Ça ne va pas pousser les gens à changer »

Interrogée, la concession assure qu’il s’agit d’un « prix normal pour un changement de batterie, qui est un objet rempli de technologies spécifiques » et rappelle que le coût des réparations, quand un gros pépin survient, peut souvent excéder le prix neuf du véhicule, comme c’est souvent le cas pour les véhicules thermiques. « Il faudrait expertiser davantage le véhicule, pour voir si on peut trouver une solution moins chère, avec une batterie d’occasion, par exemple », indique-t-on.

Fabrice Haleux, lui, assure que la durée de vie des voitures électriques peut être prolongée davantage que les thermiques, mais que le sujet n’est pas assez abordé. « L’entretien est plus simple, les freins ne s’usent presque pas, précise-t-il. Il suffirait que je change la batterie et je repartirais pour 200 000 km et dix nouvelles années. » Convaincus par cette mobilité, lui et sa femme ont même acheté une deuxième voiture électrique récemment. « Mais c’est dommage, car avec ce genre de problème, ça ne va pas pousser les gens à changer », conclut-il.

 Je suis révolté ! » : pour prolonger la vie de sa voiture électrique, il est invité à payer 36 000 €

Par Paul GRISOT.

« Ça ne va pas pousser les gens à changer ». Possesseur d’une voiture électrique vieillissante, un habitant du pays de Fougères, en Bretagne, s’est renseigné pour remplacer la batterie et lui donner une seconde vie. Surpris du montant du devis, il dénonce « un modèle basé sur l’obsolescence programmée ».

Alors que l’essor de la voiture électrique est un au centre des débats sur le futur des mobilités, la question des réparations n’est pas souvent abordée. C’est pourtant ce que veut faire Fabrice Haleux, habitant de Rives-du-Couesnon, une commune située entre Rennes et Fougères (Ille-et-Vilaine). Il y a cinq ans, cet expert-comptable acquiert une petite voiture électrique d’occasion, une Kia Soul, pour faire chaque jour la centaine de kilomètres aller-retour entre son domicile et son bureau à Rennes.

« J’ai fait ce choix pour des raisons économiques et environnementales, explique-t-il. Et cette voiture correspond parfaitement à mes attentes. » Mais depuis quelques mois, la batterie de sa voiture - âgée de presque 9 ans - perd en autonomie. « La batterie se dégrade, ce qui est parfaitement normal, poursuit-il. J’ai donc souhaité la remplacer, même à un coût élevé, pour éviter de voir ce véhicule, qui est en très bon état par ailleurs, partir à la casse. »

« Le prix d’un modèle neuf »

Début octobre, il se rend donc dans une concession Kia, le seul endroit habilité à effectuer un changement de batterie, pour demander un devis. S’il s’attendait à un montant élevé, il ne pensait pas à une telle tuile. « Le montant était de 36 310 €, souffle-t-il. Je n’y croyais pas ! Pour information, c’est à peu près le prix d’un modèle neuf de Kia, le EV3. »

Fabrice Haleux pointe l’attitude du concessionnaire et de la marque, qui n’en fait pas assez, selon lui, pour l’accompagner dans la réparation de sa voiture vieillissante. « Comme vous pouvez l’imaginer, je suis révolté, poursuit-il. C’est la preuve par A + B que leur stratégie est d’avoir un business model basé sur l’obsolescence programmée. Pour moi, c’est comme s’ils ne voulaient pas faire de réparation. Mais je n’ai pas d’autre choix, puisqu’on a aucun moyen de faire changer sa batterie chez un indépendant. »

« Ça ne va pas pousser les gens à changer »

Interrogée, la concession assure qu’il s’agit d’un « prix normal pour un changement de batterie, qui est un objet rempli de technologies spécifiques » et rappelle que le coût des réparations, quand un gros pépin survient, peut souvent excéder le prix neuf du véhicule, comme c’est souvent le cas pour les véhicules thermiques. « Il faudrait expertiser davantage le véhicule, pour voir si on peut trouver une solution moins chère, avec une batterie d’occasion, par exemple », indique-t-on.

Fabrice Haleux, lui, assure que la durée de vie des voitures électriques peut être prolongée davantage que les thermiques, mais que le sujet n’est pas assez abordé. « L’entretien est plus simple, les freins ne s’usent presque pas, précise-t-il. Il suffirait que je change la batterie et je repartirais pour 200 000 km et dix nouvelles années. » Convaincus par cette mobilité, lui et sa femme ont même acheté une deuxième voiture électrique récemment. « Mais c’est dommage, car avec ce genre de problème, ça ne va pas pousser les gens à changer », conclut-il.

La ëC3 sans hésiter, supérieure dans tous les domaines, mais seulement une fois tous les bugs corrigés.

La Spring est sympa, mais à 13-15 k€ max.

le journaliste ne s'attarde pas trop des plastiques certes durs de la eC3 parce que vu le prix, quand il regarde le reste, c'est acceptable . rapport qualité prix imbattable en 100% elec.

par contre les contres portes de la 4L et de la R5 tout en dur... là ça te dérange moins et pourtant c'est 30 à 35.000 balles chez renault le plastoc dur... !!!

comme quoi hein... on se marre encore cette aprem

 Je suis révolté ! » : pour prolonger la vie de sa voiture électrique, il est invité à payer 36 000 €

Par Paul GRISOT.

« Ça ne va pas pousser les gens à changer ». Possesseur d’une voiture électrique vieillissante, un habitant du pays de Fougères, en Bretagne, s’est renseigné pour remplacer la batterie et lui donner une seconde vie. Surpris du montant du devis, il dénonce « un modèle basé sur l’obsolescence programmée ».

Alors que l’essor de la voiture électrique est un au centre des débats sur le futur des mobilités, la question des réparations n’est pas souvent abordée. C’est pourtant ce que veut faire Fabrice Haleux, habitant de Rives-du-Couesnon, une commune située entre Rennes et Fougères (Ille-et-Vilaine). Il y a cinq ans, cet expert-comptable acquiert une petite voiture électrique d’occasion, une Kia Soul, pour faire chaque jour la centaine de kilomètres aller-retour entre son domicile et son bureau à Rennes.

« J’ai fait ce choix pour des raisons économiques et environnementales, explique-t-il. Et cette voiture correspond parfaitement à mes attentes. » Mais depuis quelques mois, la batterie de sa voiture - âgée de presque 9 ans - perd en autonomie. « La batterie se dégrade, ce qui est parfaitement normal, poursuit-il. J’ai donc souhaité la remplacer, même à un coût élevé, pour éviter de voir ce véhicule, qui est en très bon état par ailleurs, partir à la casse. »

« Le prix d’un modèle neuf »

Début octobre, il se rend donc dans une concession Kia, le seul endroit habilité à effectuer un changement de batterie, pour demander un devis. S’il s’attendait à un montant élevé, il ne pensait pas à une telle tuile. « Le montant était de 36 310 €, souffle-t-il. Je n’y croyais pas ! Pour information, c’est à peu près le prix d’un modèle neuf de Kia, le EV3. »

Fabrice Haleux pointe l’attitude du concessionnaire et de la marque, qui n’en fait pas assez, selon lui, pour l’accompagner dans la réparation de sa voiture vieillissante. « Comme vous pouvez l’imaginer, je suis révolté, poursuit-il. C’est la preuve par A + B que leur stratégie est d’avoir un business model basé sur l’obsolescence programmée. Pour moi, c’est comme s’ils ne voulaient pas faire de réparation. Mais je n’ai pas d’autre choix, puisqu’on a aucun moyen de faire changer sa batterie chez un indépendant. »

« Ça ne va pas pousser les gens à changer »

Interrogée, la concession assure qu’il s’agit d’un « prix normal pour un changement de batterie, qui est un objet rempli de technologies spécifiques » et rappelle que le coût des réparations, quand un gros pépin survient, peut souvent excéder le prix neuf du véhicule, comme c’est souvent le cas pour les véhicules thermiques. « Il faudrait expertiser davantage le véhicule, pour voir si on peut trouver une solution moins chère, avec une batterie d’occasion, par exemple », indique-t-on.

Fabrice Haleux, lui, assure que la durée de vie des voitures électriques peut être prolongée davantage que les thermiques, mais que le sujet n’est pas assez abordé. « L’entretien est plus simple, les freins ne s’usent presque pas, précise-t-il. Il suffirait que je change la batterie et je repartirais pour 200 000 km et dix nouvelles années. » Convaincus par cette mobilité, lui et sa femme ont même acheté une deuxième voiture électrique récemment. « Mais c’est dommage, car avec ce genre de problème, ça ne va pas pousser les gens à changer », conclut-il.

A un moment donné va falloir arrêter d écrire n importe quoi.....acheter un VE à 20000 euros pour faire quelques km.autour de chez soi ?!!! Et avoir un VT pour le reste !!!

Se rend on compte de l ineptie de la chose ? De l hypocrisie et de la schizophrénie de la situation ?

On prend un bon vélo à 1000 euros et ca fera largement le job !!!!!

On nous invite à limiter nos déplacements en bagnole à se déplacer autrement, moins mais mieux et on fait l apologie du VE non polyvalent juste pour faure quelques km autour de chez soi .....je sais pas.....faut se poser les bonnes questions à un moment donné !!!!!

On vit dans un monde de plus en plus délirant et aberrant et tout le monde trouve ça normal....de bons moutons bien dociles qui ne regarde pas plus loin que le bout de leur nez ....

le journaliste ne s'attarde pas trop des plastiques certes durs de la eC3 parce que vu le prix, quand il regarde le reste, c'est acceptable . rapport qualité prix imbattable en 100% elec.

par contre les contres portes de la 4L et de la R5 tout en dur... là ça te dérange moins et pourtant c'est 30 à 35.000 balles chez renault le plastoc dur... !!!

comme quoi hein... on se marre encore cette aprem

Moi je retiens pour l’instant ce qu’a dit le journaliste POM lors de l’interview Caradisiac sur les véhicules électriques, que la eC3 est une voiture facile à vivre et que son collègue Stéphane Schlessinger a répondu « tu m’as dit tout autre chose au téléphone ». Alors veut-on nous vendre cette eC3 comme la huitième merveille du monde ? Apparemment elle ne l’est point. La vérité serait intéressante non ?

De toute façon, d’ici deux-trois ans les retours seront là et l’on va bien rire…

faudrait peut être une petite sensibilisation à la sécurité routière. en tant que moniteur, avec 2 exercices pratiques, je te prouve l inverse ...

 Je suis révolté ! » : pour prolonger la vie de sa voiture électrique, il est invité à payer 36 000 €

Par Paul GRISOT.

« Ça ne va pas pousser les gens à changer ». Possesseur d’une voiture électrique vieillissante, un habitant du pays de Fougères, en Bretagne, s’est renseigné pour remplacer la batterie et lui donner une seconde vie. Surpris du montant du devis, il dénonce « un modèle basé sur l’obsolescence programmée ».

Alors que l’essor de la voiture électrique est un au centre des débats sur le futur des mobilités, la question des réparations n’est pas souvent abordée. C’est pourtant ce que veut faire Fabrice Haleux, habitant de Rives-du-Couesnon, une commune située entre Rennes et Fougères (Ille-et-Vilaine). Il y a cinq ans, cet expert-comptable acquiert une petite voiture électrique d’occasion, une Kia Soul, pour faire chaque jour la centaine de kilomètres aller-retour entre son domicile et son bureau à Rennes.

« J’ai fait ce choix pour des raisons économiques et environnementales, explique-t-il. Et cette voiture correspond parfaitement à mes attentes. » Mais depuis quelques mois, la batterie de sa voiture - âgée de presque 9 ans - perd en autonomie. « La batterie se dégrade, ce qui est parfaitement normal, poursuit-il. J’ai donc souhaité la remplacer, même à un coût élevé, pour éviter de voir ce véhicule, qui est en très bon état par ailleurs, partir à la casse. »

« Le prix d’un modèle neuf »

Début octobre, il se rend donc dans une concession Kia, le seul endroit habilité à effectuer un changement de batterie, pour demander un devis. S’il s’attendait à un montant élevé, il ne pensait pas à une telle tuile. « Le montant était de 36 310 €, souffle-t-il. Je n’y croyais pas ! Pour information, c’est à peu près le prix d’un modèle neuf de Kia, le EV3. »

Fabrice Haleux pointe l’attitude du concessionnaire et de la marque, qui n’en fait pas assez, selon lui, pour l’accompagner dans la réparation de sa voiture vieillissante. « Comme vous pouvez l’imaginer, je suis révolté, poursuit-il. C’est la preuve par A + B que leur stratégie est d’avoir un business model basé sur l’obsolescence programmée. Pour moi, c’est comme s’ils ne voulaient pas faire de réparation. Mais je n’ai pas d’autre choix, puisqu’on a aucun moyen de faire changer sa batterie chez un indépendant. »

« Ça ne va pas pousser les gens à changer »

Interrogée, la concession assure qu’il s’agit d’un « prix normal pour un changement de batterie, qui est un objet rempli de technologies spécifiques » et rappelle que le coût des réparations, quand un gros pépin survient, peut souvent excéder le prix neuf du véhicule, comme c’est souvent le cas pour les véhicules thermiques. « Il faudrait expertiser davantage le véhicule, pour voir si on peut trouver une solution moins chère, avec une batterie d’occasion, par exemple », indique-t-on.

Fabrice Haleux, lui, assure que la durée de vie des voitures électriques peut être prolongée davantage que les thermiques, mais que le sujet n’est pas assez abordé. « L’entretien est plus simple, les freins ne s’usent presque pas, précise-t-il. Il suffirait que je change la batterie et je repartirais pour 200 000 km et dix nouvelles années. » Convaincus par cette mobilité, lui et sa femme ont même acheté une deuxième voiture électrique récemment. « Mais c’est dommage, car avec ce genre de problème, ça ne va pas pousser les gens à changer », conclut-il.

La Citroën arrive en tête. Normal elle est beaucoup plus chère et le bonus fausse la donne. Tant mieux pour le client? Oui si le bonus n'était pas payé par tous les Français et si la situation économique de notre pays était au beau fixe.

Est ce le cas?