On apprenait la semaine dernière que l'immobilier parisien avait dépassé les 10 000 € le m2. Et lundi prochain débute la semaine "de la mobilité" avec pour apothéose la journée sans voiture du 22 septembre. Vous ne voyez pas le rapport ?
Les constructeurs se sont toujours évertués à fuir le terme de break, trop campagnard et trop utilitaire. Après les Nevada, Estate, Combi et SW, l’heure du shooting brake a sonné. Une révolution stylistique ? Un simple changement de dénomination.
Les dégradations de radars se poursuivent, et comme on pouvait s'y attendre les nouveaux modèles "tourelles" ne sont pas plus épargnés. Pour contrôler la vitesse, il va falloir trouver autre chose, mais quoi ?
Depuis quelques jours, les voitures électriques doivent faire du bruit en deçà du seuil des 20 km/h. Une mesure destinée à avertir les piétons, mais qui sonne le glas du silence espéré par les habitants des villes. D’autant que les émissions sonores ne sont pas normées et que l’imagination pourrait bien sortir des haut-parleurs cachés sous les capots des nouvelles autos.
La priorité à droite a fait un joli retour en force ces dernières années en France, mettant à la retraite panneaux "Stop" et "Cédez le passage". Malheureusement, c'est aussi une grande source d'accidents, et c'est finalement assez curieux de voir une telle chose, encore, en 2019 sur nos routes.
Quand l’un des patrons de BMW et les analystes économiques raillent le manque de succès de la voiture électrique aujourd’hui, ils tombent dans le même piège que leurs prédécesseurs qui conspuaient la voiture thermique il y a plus de 100 ans.
A Paris et dans les grandes villes, alors qu'on ne compte plus ses victimes, la trottinette électrique continue à prospérer. Et cela en toute illégalité. Que fait la justice ?
Une nouvelle association milite pour la légalisation du rétrofit* des voitures thermiques en électriques. Une bonne idée qui m'en donne une autre, moins dans l'air du temps.
Plus que quinze petits jours pour s’offrir un pick-up exempté de malus. Une décision qui en termine enfin avec le flou juridique dans lequel les 4x4 à benne ont fait leur lit. Mais une décision plutôt juste, du moins en ce qui concerne les particuliers qui ont acheté, bon an mal an, la moitié des 20 000 exemplaires vendus chaque année en France. Les professionnels quant à eux ne perdent pas grand-chose au change.
Rupture de fiançailles à Billancourt. La belle Italienne n'a pas supporté que le Français demande le temps de la réflexion. Pas rancunier, ce dernier ne ferme pourtant pas la porte. Faut-il garder le champagne au frais ? Ou mettre la pièce montée à la poubelle de l'histoire ?