Difficile de rester insensible aux lignes des sportives de Maranello. Cela dit, cette voiture badgée Ferrari laissera indifférent tous les amateurs de la marque au cheval cabré. Il s'agit en réalité d'une Toyota Celica de sixième génération.
Un indice : vous aviez probablement plus de chance de croiser une Lamborghini ou une McLaren que l’une de ces voitures fonctionnant avec du dihydrogène comme combustible.
Voiture plaisir à petit prix
Réalisant une sorte de quadrature du cercle, la Toyota IQ parvient à limiter sa longueur à 3 m, à loger – presque – quatre passagers et à se montrer à l’aise sur autoroute. Surtout dans sa version 100 ch, particulièrement vive et agréable ! Trop chère en neuf, l'IQ débute désormais à 3 000 €.
La stratégie industrielle c'est son truc, les enjeux économiques de l'auto aussi et même la vanlife trouve grâce à ses yeux, tout en étant myope. Alors, en cette fin d'année, Michel Holtz répond aux questions que tous les observateurs du monde automobile se posent.
Le nouveau roi des SUV urbains en Europe n’est plus le Peugeot 2008 ou le Renault Captur, mais le Toyota Yaris Cross qui devance tous ses rivaux européens sur le Vieux continent. C’est vraiment la poule aux œufs d’or du constructeur japonais.
Dans un contexte où l’on se demande si les voitures à hydrogène ont encore un avenir, les ventes de la Toyota Mirai reviennent à un niveau particulièrement bas. La berline japonaise n’intéresse plus personne.
Histoire qu’on n’oublie pas que le Toyota Rav4 lutte toujours avec le Tesla Model Y pour le titre de « voiture la plus vendue de la planète », le constructeur japonais donnera un petit coup de pouce à l’image de son SUV à l’occasion du prochain Tokyo Auto Salon.
Le SUV nippon a passé la barre du million d’exemplaires produits. En misant sur sa technologie hybride et un look singulier, mais fort, Toyota a réussi son pari.
La citadine japonaise a droit à certaines évolutions pour l’année prochaine. Rien ne change côté technique, mais elle se bonifie esthétiquement.
Qui s'intéresse un tant soit peu à l'automobile a déjà compris pourquoi la question est posée. En effet, le moteur 1.2 Puretech du groupe Stellantis est défavorablement connu pour son manque de fiabilité et ses défauts de conception. Une mauvaise réputation qui, si elle suit la règle habituelle, est censée faire baisser les prix de revente des occasions. Mais pour les modèles au Puretech, les cotes sont-elles réellement affectées ? Nous avons épluché les annonces pour le savoir. Et c'est pas joli joli...
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