Après avoir fortement baissé ses prix, la compacte électrique de la marque au losange augmente légèrement son autonomie grâce à de petits détails et simplifie sa gamme.
Une berline familiale en offre beaucoup plus qu'une citadine/polyvalente, c'est certain. Seulement, cette catégorie est de moins en moins plébiscitée par les automobilistes. Serait-ce possible d'acheter une grande berline d'occasion pour le prix d'une petite voiture ? En théorie oui, mais il y a tout de même des paramètres à prendre en compte.
Maintenant que nous avons essayé le Renault Scénic E-Tech et le Peugeot E-3008, on sait désormais lequel de ces deux SUV électriques possède le meilleur rapport prix-prestations. Le modèle de la marque au losange semble partir avec un avantage, même si le Peugeot affiche un style plus osé à l'extérieur comme à l'intérieur.
S’ils ont été largement phagocytés par les SUV, les breaks font de la résistance, car ils présentent bien des avantages. Mais d’où viennent-ils ? Qui sont-ils ?
Après s'être vu décerner le titre de voiture de l'année, le Renault Scenic est à l'essai cette semaine sur Caradisiac. Et le Renault Senic mérite bien son titre. Il y a quarante ans tout juste, une autre voiture défrayait la chronique : la Peugeot 205 GTI. Elle est ici opposée à son ennemie de toujours : la Renault 5 GT Turbo.
Les femmes travaillant chez Renault ont désormais le même salaire que les hommes. En revanche, elle sont toujours sous-représentées. Le groupe vise l'égalité totale entre les sexes d'ici 2050.
La Renault 4 E-Tech Electric, nouvel élément de l’offensive électrique de la marque au losange, effectue des essais près du cercle polaire arctique. Cette voiture attendue pour le Mondial de l’automobile en octobre et commercialisée en 2025, sera différente de la nouvelle Renault 5 E-Tech Electric, puisque ce sera un crossover électrique qui existera aussi en version utilitaire.
Une fois l'engouement pour la nouvelle star du losange passé, que restera-t-il de la R5 madeleine de Proust ? Un lancement commercial en fin d'année dont le succès n'est pas garanti, pour plusieurs raisons.
Pour Renault, la difficulté ne serait pas de trouver des clients, mais plutôt de suivre la cadence au niveau industriel pour répondre à la demande.
Les 6,2 % d’augmentation du nombre de transactions le mois dernier tentent de faire oublier que le marché reste encore assez mou.
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