
Rendre plus abordable la petite voiture populaire en l’affranchissant des normes européennes dictées par les constructeurs allemands, c’est ce que réclament les deux patrons de Renault et Stellantis.
Rendre plus abordable la petite voiture populaire en l’affranchissant des normes européennes dictées par les constructeurs allemands, c’est ce que réclament les deux patrons de Renault et Stellantis.
C’est une poignée de députés réunis en commission qui a voté l’abrogation des ZFE contre l’avis du gouvernement. Peut-on enfin tirer une croix sur ce dispositif dont l’utilité devenait contestable et qui risquait de faire ressortir les gilets jaunes des boîtes à gants ?
C’est déjà le cas entre Renault et Geely ou Stellantis avec Leap Motor. Mais la question se pose de toute urgence pour nos gigafactories de batteries.
Des voitures incendiées, des ventes en berne, un cours de Bourse qui chute, Tesla va mal. La faute au patron de la marque ? Ou au partenaire de Donald Trump ? Et au fait, Tesla va-t-il si mal ?
Puisque la saison est au cessez-le-feu et au plan de paix, pourquoi ne pas mettre fin à la guerre larvée qui, dans notre pays, oppose autophobes et automobilistes ? Voici mon plan de paix en trois parties.
Quand le patron de Tesla se met au service d’un président des États-Unis d’Amérique climatosceptique et hostile à la voiture électrique, faut-il encore croire à l’avenir de la watture ?
Tandis que le marché de la voiture neuve patine, celui de l’occasion se porte bien, d’autant que ses prix baissent enfin. C’est la crise, mais il faut bien rouler…
Faut-il se convertir à la voiture électrique quand Donald Trump nous promet du pétrole moins cher ? L’Europe peut-elle, seule, lutter contre le réchauffement climatique ? C’est la question qui se pose mais, espérons-le, seulement pour quatre ans…
Faut-il moraliser nos achats automobiles ? D’abord, le peut-on ? Faut-il s’interdire d’acheter chinois ? Par patriotisme ou par éthique ? Et jusqu’où la Chine va-t-elle se nicher sous nos capots ?
En attendant, on n’achète plus grand-chose, sauf de l’occasion et le parc automobile vieillit. Est-ce une simple question de pouvoir d’achat ? Qu’attendons-nous ?
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