Sur la base d’une petite berline Ka déjà âgée de six ans et demi, Ford a eu la curieuse idée d’élaborer un petit découvrable qui a été voulu avant tout sexy et craquant de ligne. Ce petit jouet automobile, qui évoque par certains aspects une sorte d’Audi TT en miniature n’aura perduré que trois ans au catalogue. Mais son design, sa joie de vivre sur route et sa rareté composent un ensemble qui peut légitimement attirer bien des amateurs. Car la bête est réellement agréable à fréquenter, et plutôt fiable mécaniquement.

Elle paraît bien datée, cette première génération de Mondeo. C'était à sa sortie la première berline à traction avant de cette taille chez Ford Europe. Et elle apparaissait plutôt dynamique et agréable à conduire. Elle a tout de même beaucoup vieilli et, fait aggravant, les exemplaires d'avant le restyling vieillissent vraiment assez mal. Par ailleurs, la version la plus demandée aujourd'hui demeure évidemment la diesel, alors qu'il s'agit, et de loin, de la moins bonne version de la gamme, le moteur relevant vraiment d'un autre âge. Inutile donc de dépenser bien cher pour acquérir une Mondeo 1 en motorisation 1.8 TD. Intéressez-vous à cette génération de Mondeo seulement si vous voulez vous tourner vers une version à essence. Et, dans ce cas, vu la faible cote, l'achat peut être tentant.

Cette micro-voiture à "tête d'œuf" (son pavillon se rétrécit dans sa hauteur et adopte des formes ovales qui peuvent faire penser à un œuf) a perduré longtemps en production. Trop sans doute pour que son capital sympathie ne s'émousse pas. Elle ne suscite plus aucune passion et s'échange, comme une petite machine à rouler, à des tarifs bon marché. Si sa gamme est simple – quasiment un seul moteur tout au long de sa carrière, pas de carrosserie 5 portes, pas de diesel – le choix se trouve pourtant un peu compliqué du fait de certaines faiblesses qui affectent certaines années de construction. En particulier, les premiers modèles ne sont pas les plus recommandables en termes de fiabilité.

Cette première génération de Focus marquait un réel bond en avant par rapport à la très vieillissante Escort qu'elle remplaçait. Vive, plaisante à conduire, agréablement motorisée, elle permettait même un plaisir de conduite jusque là rarement offert aux acheteurs de Ford. Le tableau pourrait être idyllique… à ceci près que les ennuis ont été assez nombreux et que le vieillissement général, surtout sur les modèles de première partie de carrière, est vraiment imparfait.

Elle n'est plus très moderne d'aspect, avec sa silhouette qui, pour l'essentiel, remonte à… 1989 ! Cette génération née fin 1995 était principalement une refonte technique, la carrosserie ne profitant que de modifications périphériques. Ce modèle offre donc un mélange entre certains aspects suffisamment modernes compte tenu de sa génération, et d'autres carrément dépassés. Le public le sent bien, car la demande a fortement baissé autour de cette série, et les cours ne sont plus très hauts

Au début de sa carrière, la 307 fut un peu l'équivalent de la Laguna 2 chez Renault (voir ici) : la bête noire des chefs d'atelier, le cauchemar des mécanos, mais surtout une source de soucis inépuisable pour les nombreux propriétaires qui

Pas toujours évident de faire comprendre à un autre automobiliste ce qu’on pense de lui, ou de le remercier pour sa courtoisie ! Remarquez, si : parfois un seul doigt suffit, mais ce n'est pas le même dans les deux cas... Pour le reste, à par

Tremblez automobilistes ! Votre cher moyen de transport, bon pour le service l'année dernière, pourrait ne plus l'être depuis le 1er janvier 2008, ou en tout cas au prochain contrôle technique. En effet, la réglementation concernant celui-ci se

Toyota, le premier constructeur automobile japonais, a lancé mercredi le rappel de 264 020 automobiles au Japon et dans différents autres pays pour réparer gratuitement un défaut sur les conduites de carburant.

Une petite route de montagne, virolos bien serrés inclus, un papa qui appuie un peu trop sur le champignon (bah quoi il se fait un peu plaisir, c'est interdit ?), et là… c'est le drame !