
A la fin des années 60, la FIA décide de mettre un frein à la folie des moteurs en limitant la cylindrée à trois litres dans la catégorie Groupe 6, celui des monstres sans limites de puissance ou de cylindrée, justement. Une épine dans le pied de Ferrari qui comptait sur le gros V12, mais le cheval cabré revient quelques années plus tard en Groupe 5 avec la 512.