À l'aube de la saison 1966, Ford affiche clairement la couleur. L'apprentissage est terminé et le constructeur américain vient cette fois au Mans pour triompher. Disposant de moyens financiers alors inédits et d'une logistique sans précédent,
Après la défaite essuyée à Daytona face aux Ferrari P4, Ford évite toute confrontation. Quelques jours avant les 24 Heures du Mans tout pronostic est impossible. La tension est à son comble et cette édition prend une dimension qui dépasse le
Au-delà du changement brutal de réglementation qui a totalement bouleversé le paysage de l'endurance, cette édition 1968 du Mans apporte son lot d'inédits. En effet, pour la première fois de son histoire, l'épreuve se déroule en septembre.
Traversant la piste en marchant d'un pas tranquille pour protester contre le départ "type Le Mans", Jacky Ickx s'élance bon dernier. 24 heures plus tard, il se révèle le meilleur sprinter au volant de sa Ford GT 40 et bat d'un souffle la Porsche
Battu dans le "sprint final" l'année précédente, Porsche prend une éclatante revanche en 1970. Sous le déluge, la marque de Stuttgart signe non seulement son premier succès aux 24 Heures, mais remporte toutes les victoires de classes,
Pour leurs 50 ans, les 24 Heures du Mans 1973 s'offre une superbe affiche. Le duel Matra-Ferrari ajourné l'année précédente va tenir toutes ses promesses. A moins de deux heures de l'arrivée le combat reste incertain, mais Matra finit par avoir
Intouchable dans les épreuves du Championnat du monde "Sport" 1976, la Porsche 936 du Martini Racing s'impose également au Mans, marquant ainsi la première victoire d'un moteur turbo aux 24 Heures. De retour en 1977, Porsche trouve cette fois
Pour la première fois dans l'histoire des 24 Heures du Mans, un pilote s'impose au volant d'une voiture de sa construction et portant son nom. L'exploit de Jean Rondeau, remarquablement épaulé par Jean-Pierre Jaussaud est resté unique à ce
Au lendemain des 24 Heures du Mans, la CSI limite brutalement la cylindrée des prototypes à 3 litres. Brands Hatch, la dernière épreuve de la saison prend soudain une autre dimension en offrant l'ultime possibilité de voir les "monstres" en
Avec la victoire de la Torino Liebre, un vrai prototype moderne, dans le Grand Routier 1967, un long règne s'achève. Celui des vieux coupés américains dévalant à plus de 200 km/h les cols des Andes et les chemins de mulet de la pampa. L'ère
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