Avant que les événements n’accélèrent une rumeur qui pourrait le prendre de vitesse, le constructeur Fiat Chrysler Automobiles a préféré prendre les devants et joué le principe de précaution. Qui aura pour conséquence une vague conséquente de rappels de ses véhicules. En cause son système de « cruise control » un anglicisme choisi car l’événement ne concerne que les États-Unis. Pour l’instant ?
Radars automatiques : les dernières infos dévoilées
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Quelque 17,03 millions de PV radars ont été dressés en 2017, et ont généré une forte hausse des recettes (+10 %). Celle-ci s'explique-t-elle par un boom des excès de vitesse ? Des feux rouges grillés ? Ou s'agit-il des nouvelles contraventions pour "non-désignation de conducteur" (NDC) - à 450 euros au minimum - quand des véhicules de société se font flasher ? Selon les derniers chiffres publiés, on pourrait le soupçonner. D’autant plus que les vitesses moyennes sur l'ensemble du réseau demeurent stables. Reste que le nombre de radars installés ne cesse de progresser… Quel est le coût sinon de traitement d'un PV radar ? Quel est le taux de paiement ? Voici les dernières nouvelles à retenir du contrôle automatisé.
Recettes des radars en hausse de 10 % en 2017 !
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Record de nouveau battu ! Les recettes engrangées via la répression routière ont de nouveau progressé en 2017, pour s'établir à près de deux milliards d'euros, avec plus d'un milliard apportés rien qu'avec le contrôle automatisé des infractions routières, dévoile la Cour des Comptes ce mercredi. D'où vient cette croissance exactement ? Quels sont les types de PV radars qui ont le plus augmenté l'an dernier - les vitesse ? les feux rouges ? Mystère… Comme chaque année, et malgré les efforts fournis dernièrement sur ce point, la Cour des Comptes continue en tout cas à considérer que l'utilisation de l'argent des radars, comme du reste des PV, n'est pas conforme à la loi, puisqu'il ne sert pas toujours à l'amélioration de la sécurité routière.
Entre les nids-de-poule et les ponts qui donnent d’inquiétants signes de faiblesse, force est de constater que le réseau routier secondaire dans sa large acceptation est à bout de souffle. Il faut réparer ce qui doit l’être et entretenir ce qui tient encore la route, si l’on peut dire. Une responsabilité doublée d‘une question de sécurité et le gouvernement a décidé de s’y mettre. Il annonce un « plan de sauvegarde des routes nationales » Qui s’appuiera « sur des ressources financières solides et pérennes ».
C’est un fait acquis : au 1er juillet de cette année, il faudra réduire de 10 km/h son allure sur les routes secondaires en France, si l’on ne tient pas à dépasser la vitesse maximale qui y sera autorisée. Concrètement, il faudra se caler à 80 km/h au lieu de 90. Sinon, ce sera l’excès de vitesse qu’une voiture radar privée, à la légalité qui pose question jusque dans les couloirs du ministère de l’Intérieur, pourra vous relever. Une baisse de rythme hautement impopulaire si l’on en juge par un récent sondage. Alors, pour changer l’opinion, on a décidé de la manipuler.
Si même en interne, les experts juridiques de Beauvau jugent douteuse la légalité de la privatisation de la conduite des voitures-radar, et déconseillent de se lancer dans un tel processus, comment peut-on malgré tout en arriver à la mise en place effective de cette "externalisation" ? Ni le ministre de l'Intérieur, ni le délégué à la Sécurité routière ne répondent pour l'instant à la question.
Un an après l’élection d’Emmanuel Macron, Caradisiac se penche sur les mesures prises en matière de sécurité routière. Au-delà du débat sans fin sur les 80 km/h, quelles avancées réelles ?
La baisse est certes minime, avec - 0,7 % par rapport à avril 2017. Mais elle est de 5,8 % pour le nombre d'accidents et de 6,3 % pour le nombre de blessés.
L’offensive hivernale dans notre verte contrée, pour le coup, drapée de blanc, a été courte mais violente. Une attaque éclair dont la retraite a laissé des traces sur une chaussée martyrisée qui n’était déjà pas au meilleur de sa forme. Il va donc falloir réparer et colmater, et c’est ce qui va se passer, par exemple sur une autoroute A4 dont la réfection vient de commencer. Cela va durer près de cinq mois, ce qui veut dire des ralentissements qui se feront d’autant plus ressentir durant la période de la transhumance estivale…
C’est une nouvelle qui nous vient de nos voisins belges que l’on raille souvent. Mais ce serait ici mal à propos. Le site gocar.be relate en effet que le ministre fédéral de la mobilité François Bellot a enterré l’idée du permis à points en Belgique. Pourquoi ? Parce que selon une étude indépendante, la mise en œuvre d’un tel dispositif est estimée à 8 millions d’euros par an. Une décision et des considérants qui nous éclairent sur les prises de décision de ce côté-ci de la frontière en matière de répression routière…
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