La France renoue avec le podium lors du dernier Trial des Nations. Troisième, les Bleus cèdent une seconde place aux anglais après avoir tenu leur position durant plus des deux tiers de l'épreuve. L'Espagne reste intouchable...
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C'en est fini de la saison 2018. Le championnat de France de Supermotard a tiré sa révérance à Villars sous Écot avec à la clef un titre en S2 pour le team Luc1, team qui nous présente, en images qui bougent, la rétrospective de ce huitième round. Vidéo.
Parti de sa pire place en qualifications depuis Assen 2006, Valentino Rossi a fait le job dans une course d’Aragon qu’il a fini huitième. Pas mal lorsque l’on s’élance dix-septième, mais être un officiel Yamaha, ce n’est pas vivre de tel Grand Prix et se réjouir d’accessits. Toujours troisième au championnat, le Doctor tire une fois encore la sonnette d’alarme dans une maison d’Iwata qui ressemble de plus en plus à un chef-d’œuvre en péril…
C’est un Johann Zarco impuissant qui faisait état de sa course en Aragon, regrettant une Yamaha devenue à ce point délicate à piloter qu’elle le forçait plus à se battre contre elle que contre ses adversaires. Une situation partagée par les pilotes officiels d’une marque au diapason qui connaît une de ses pires crises techniques depuis qu’elle est engagée en Grand Prix. Et le pire, c’est que ça risque de durer…
En arrivant en Aragon, l’intention de Marc Marquez était bel et bien de stopper cette domination Ducati en vigueur depuis le retour de la trêve estivale. Une opération risquée pour celui qui joue le championnat et, justement, les motos rouges espéraient le faire tourner en bourrique pour tirer les marrons du feu et relancer la course au titre. Au lieu de ça, l’officiel Honda a livré une prestation magistrale qui lui donne encore un peu plus d’aura dans l’histoire du MotoGP…
Triumph sera en Grand Prix en 2019 en se présentant comme le fournisseur unique en moteur de la catégorie Moto2. Un sacré pari pour l’usine d’Hinckley mais une opportunité de montrer son savoir-faire et de la faire savoir. Après deux ans de développement avec les équipes et aussi Magneti Marelli qui représente la centrale électronique elle aussi standard, la remise symbolique des mécaniques s’est faite sur la grille de départ du Grand Prix d’Aragon…
Valentino Rossi n’avait pas connu une si misérable qualification depuis Assen 2006. 18e à la régulière et avec une place de mieux à la faveur des pénalités infligées à Morbidelli et Vinales, le Doctor est resté impuissant au guidon d‘une Yamaha tout aussi atone. Cette course de dimanche s’annonce longue en Aragon, comme, du reste, le reste de cette saison…
Présenté comme ça, ce serait une bonne nouvelle pour notre Français. Mais à bien regarder la situation, les apparences sont trompeuses. Car les Yamaha partiront de la seconde partie de la grille, voire même de la dernière pour ce qui est de Valentino Rossi. Ce samedi e, Aragon a été un enfer pour les pilotes de la marque d’Iwata qui n’est plus que l’ombre d’elle-même… Johann Zarco, quant à lui, n’a pu faire mieux que quatorzième en Aragon…
C’est à nouveau un Lorenzo conquérant qui a conclu les qualifications du Grand Prix d’Aragon, devant un équipier Dovizioso battu de seulement 14 millièmes. Un doublé Ducati devant un Marquez premier de cordée du HRC tandis que chez Yamaha, on continue à s’enfoncer. Ainsi, Rossi partira de sa pire place sur la grille de départ depuis 2006…
C’est l’épilogue réglementaire de cette affaire Fenati qui a surgi en pleine course de Moto2 à Misano. La conséquence d’un geste aussi antisportif que dangereux à l’encontre de l’adversaire Manzi en pleine bataille, matérialisé par une action volontaire sur le frein de la moto du rival. Les images ont fait le tour du monde et la polémique qui s’est ensuivie a été passionnée…