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Comme Stoner, il est déjà titré, et à l'identique, il continue à aligner les chronos pour mieux dominer son sujet. Jorge Lorenzo, qui vit ses derniers jours dans la catégorie quart de litre sur son Aprilia avant de s'en aller rejoindre l'élite et Yamaha dès la fin de ce week-end, ne lâche rien et a encore enfumé le peloton d'un chrono dont il a le secret.

Talmacsi en leader dans la séance libre du matin, Faubel en pole provisoire l'après-midi juste devant le Hongrois, la bataille finale a déjà commencé en vue de l'attribution du titre mondial 125. Rappelons que dix points séparent Gabor d'un Hector qui a les yeux de Chimène de tout un peuple prêt à le porter s'il le faut jusqu'à la couronne de Champion !

Certes, Sylvain a bien reconnu qu'il avait passé un pneu de qualif comme la réglementation le permet au seul duo en Dunlop, mais le Drômois a aussi affirmé à qui voulait l'entendre que son meilleur chrono, qui le place ainsi comme dauphin de Stoner, il l'avait bel et bien signé avec ses gommes de course.

Casey Stoner a ouvert la danse du dernier bal de l'année à Valence. Comme il en a pris l'habitude durant le long de son année de tous les succès, il a signé un vrai temps de référence dès l'entame du meeting à l'issue de la première séance d'essai libre d'une catégorie Moto GP qui s'apprête à fêter le centième départ de son histoire.

Voici une preuve de plus que Ducati tient à ce que son équipe satellite gérée par Luis D'Antin ait véritablement le statut de team « B » de Borgo Panigale. Celle que l'on appelait encore Pramac D'Antin changera en effet de nom dès la clôture de la présente saison, ce dimanche, pour prendre la douce identité d'Alice Team.

Si le passage de Valentino Rossi aux Bridgestone n'a pas été encore annoncé officiellement, il ne semble néanmoins plus faire de doute puisque les débats dans le paddock tournent actuellement non plus sur cette simple éventualité, mais sur quand le « Doctor » pourra effectivement rouler avec les gommes nippones.

Voilà la première réaction venue d'ici d'un Max Biaggi que peu voyaient continuer une carrière au plus haut nouveau dans un team privé, si huppé soit-il, lui qui a toujours posé comme préalable à son engagement un statut de pilote d'usine.

Après l'initiative d'Assen, voilà que Fiat remet le couvert d'une décoration toute à la gloire de sa 500. Une gloire remise au goût du jour et de nouveau disponible sur le marché par le biais d'une voiture tout ce qu'il y a de plus contemporaine.

L'événement avait été éventé déjà ici, mais l'officialisation de la nouvelle est même mieux que ce que l'on espérait. Certes, Mike Di Meglio pilotera effectivement une Derbi du team Ajo Motorsport, mais sa situation se présente comme plus forte que ce simple énoncé de fait brut.

Giuliano Rovelli est un homme comblé. Non seulement il a la confiance de Triumph pour développer les activités sportives de la marque dans la péninsule, et ce au travers des trophées « Thruxton Cup » et « Triumph Cup », mais voilà qu'en plus il s'est monté un programme mondial Supersport par le biais de sa structure BE1 Racing avec deux Daytona 675.