
Ce Grand Prix d’Australie sentait la poudre et il ne nous a pas déçus. Entre les cinq premiers, la bataille été viril mais correcte, une dureté dont les cuirs et les motos portaient les stigmates au parc fermé. Celui-ci était composé d’un Márquez radieux et en route vers le titre mondial, un Rossi épanoui, un Viñales mi-figue mi-raisin et un Zarco qui a loupé le podium de peu mais qui a été un bel animateur d’une épreuve débridée.