Xavier Simeon sera l’un des quatre débutants cette année en MotoGP. Aux côtés de Morbidelli, de Lüthi et de Nakagami, il est celui que l’on n’attendait pas. Et que l’on n’espérait pas vraiment puisque, sa promotion, il la doit d’abord à des appuis financiers qui lui ont permis de prendre la Ducati du team Avintia à notre Loris Baz national. Depuis parti retrouver le Superbike qui l’avait révélé…
Le MotoGP va reprendre ses activités après une trêve hivernale qui s’achèvera ce week-end du côté de la Malaisie. Le tracé de Sepang relancera en effet les tests de l’intersaison, une période durant laquelle toutes les équipes seront concentrées sur leur préparation avec leurs troupes en ordre de bataille. Une situation qui n’est hélas pas encore celle de Tech3 qui a appris sur le tard que son pilote Jonas Foger jetait l’éponge pour des raisons de santé. Au débotté ; Hervé Poncharal a fait appel au Colombien Yonny Hernandez qui aura sa chance s’il convainc sur la Yamaha au terme des trois jours dévolus aux essais…
Après Morbidelli et Lüthi qui vont peupler le stand du Marc VDS Racing, team satellite Honda, et avant la présentation du Belge Xavier Simeon, voici le tour du Japonais Takaaki Nakagami de se montrer parmi les quatre débutants en MotoGP pour cette saison 2018. Un pilote qui marque le retour de l’empire du soleil levant au plus haut niveau de la compétition moto. Un protégé de Honda qui a eu le temps de se former dans une catégorie Moto2 où il a certes démontré un certain potentiel, sans pour autant le concrétiser par des résultats réguliers et probants. Le plus dur reste donc à faire.
C’est un Valentino Rossi toujours aussi motivé qui s’est présenté à la cérémonie destinée à révéler les nouvelles couleurs de Yamaha pour cette saison 2018 de MotoGP. En compagnie d’un Maverick Viñales qui a annoncé avoir renouvelé son contrat avec la firme au diapason pour deux ans supplémentaires, le Doctor n’a rien dit sur son avenir mais c’est plutôt concentré sur un présent où il va falloir être attentif à ses choix techniques. Les tests à venir seront donc essentiels, et d’autant plus que l’an passé, Yamaha a terminé sa campagne dans le brouillard absolu sur l’évolution à donner à la M1…
Yamaha a présenté aujourd’hui ses nouvelles couleurs pour la campagne 2018 de MotoGP et la marque au diapason en a profité pour lancer le marché des transferts. À la fin de cette année, en effet, tous les ténors verront leur contrat actuel se finir. Il faut donc négocier et les discussions ont apparemment été rapides et fructueuses avec Maverick Viñales qui a renouvelé son bail jusqu’en 2020.
Le début de la saison MotoGP approche et, du côté de Sepang, en Malaisie, l’élite des Grands Prix sort de sa léthargie pour mettre fin à son hibernation de la trêve hivernale en reprenant les tests de l’intersaison. Au cours de cet exercice, nous verrons quatre débutants, aux profils différents. Nous avons parlé hier de Morbidelli, 23 ans et espoir de la moto italienne. Voici le cas de son équipier qui est la relève suisse… Même à 31 ans !
Ils seront quatre cette saison à débuter dans la catégorie reine des Grands Prix moto qu’est le MotoGP. Le premier d’entre eux est un Franco Morbidelli qui arrive sur la Honda du Marc VDS Racing après avoir raflé le titre mondial en Moto2 sous les mêmes couleurs. L’Italien est un protégé de Valentino Rossi, un pur produit d’une filière VR46 aux ambitions aussi grandes que celles de son mentor. Morbidelli aura donc aussi une certaine pression en supportant cette image de figure de proue.
Direction l'Espagne à Jerez pour les prochains tests hivernaux des pilotes du KRT. L'objectif est simple: décrocher un quatrième titre mondial.
KTM roi incontestable du Dakar ? Clairement puisque la marque autrichienne enregistre sa 17ème victoire consécutive. Ça... c'est fait...
L’âge en MotoGP est devenu un sujet après que la discipline reine des Grands Prix ait été touchée par le syndrome du jeunisme. Si la valeur n’attend pas le nombre des années, la jeunesse n’est pas plus en elle-même gage de compétence et les Johann Zarco à plus de 27 ans et autres Dovizioso trentenaire ont démontré que l’expérience comptait aussi et que le talent n’est pas affaire d’état civil. Sans parler du bientôt quadra Valentino Rossi !
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