Cette fois, ça ne l’a pas fait pour un Johann Zarco qui ne s’est pas encore réconcilié avec le tracé du Mugello. En progrès hier, vendredi, ce samedi a été plus problématique, avant notamment une chute avec les qualifications qui a entamé son enthousiasme. Le pilote Tech3 Yamaha ne s’élancera que neuvième, mais sur ce tracé, ça n’a rien de rédhibitoire…
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Le public italien en rêvait et Valentino Rossi l’a fait. Depuis 2016 et le Japon, le Doctor n’avait pas réussi à se hisser au sommet d’une grille de départ. Il a renouvelé avec cette position e pointe au meilleur endroit possible, soit au Mugello pour son Grand Prix d’Italie. Maintenant, il faut renouer avec un podium qui le fuit sur ses terres depuis 2015. Et pourquoi même avec la victoire qu’il n’a plus connue devant les siens depuis 2008 !
On ne l’attendait pas à pareille fête, mais il répond toujours présent lors des grands moments. Valentino Rossi a mis son casque dédié pour son Grand Prix d’Italie et il est parti avec une Yamaha compliquée à cerner dans une qualification où il n’était pas le favori. Et pourtant, le voilà au sommet de la grille de départ après un chrono record au Mugello. Le Doctor n’avait plus connu une telle joie depuis le Japon 2016…
En arrivant sur ses terres du Mugello, Valentino Rossi était inquiet. Lors de récents tests sur ce même tracé, il n’avait pas été convaincu par les performances d’une Yamaha qui, au passage, n’a rien gagné depuis quinze courses. Mais le premier jour du Grand Prix d’Italie ne s’est pas si mal passé, même si envisager ne serait-ce qu’un podium est encore présomptueux. Le Doctor est dans le top 10 au terme du vendredi et voit Zarco quatrième tout comme Viñales second devant lui avec une Yamaha.
Après son abandon sur ses terres du Mans, Johann Zarco s’est remis la tête dans le guidon pour retrouver l’arrivée et les points sur le tracé du Mugello. Un circuit qui accueille le Grand Prix d’Italie et sur lequel le Français doit en passer par un temps d’adaptation. Reste que les choses vont dans le bon sens puisque le voilà quatrième. Mais il reste encore à faire…
Entre rumeurs, grosses chutes et un outsider en tête, ce n’est rien de dire que le Grand Prix d’Italie a commencé sur les chapeaux de roues. Se sachant éconduit par Suzuki et préféré au jeune Joan Mir, Andrea Iannone s’est fâché tout rouge que sa moto bleue pour terminer en tête cette première journée au Mugello. Pirro, sur sa machine rouge, nous a fait très peur tandis que Márquez y est aussi allé de sa chute. Zarco est quant à lui quatrième !
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Cette édition du Grand Prix d’Italie programmé pour ce week-end au Mugello ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices pour un Valentino Rossi, idole de tout un peuple. Sa Yamaha n’a en effet rien gagné depuis quinze meetings et les derniers tests effectués sur le circuit toscan ont été décevants. Alors le Doctor prévient qu’à moins d’un miracle, il ne faudra pas espérer de sa part une dixième victoire à domicile…
Après un Grand Prix de France enthousiasmant, c’est un rendez-vous en Italie passionnant qui va nous tenir en haleine ce week-end. Le Mugello est la terre de Valentino Rossi mais aussi le fief de Ducati et les deux symboles transalpins vont devoir s’employer pour contrer le conquistador Marc Márquez. Ce dernier arrive avec trois succès de rang dans sa poche et une Honda au sommet de sa forme. Et au championnat, il caracole en tête…
Chez Ducati, on semble montrer la porte de sortie à un Jorge Lorenzo aux résultats décevants sur la Desmosedici. Le patron de la marque lui-même avoue avoir de cette expérience un goût amer, une sensation qui ne pousse pas à sa reconduction. Mais les rouges continuent néanmoins à travailler pour leur pilote. Lors des derniers tests de Montmelo, on a certes vu une GP18 affublée de nouveaux ailerons. Mais on a aussi découvert le premier exosquelette du MotoGP !