
Oyez, oyez, braves gens. Sachez qu'en ce jour morne et gris, on apprend que le fait d'un Prince, heureux d'être porté aux commandes suprêmes d'un pays, n'a plus droit de cité. En effet, l'amnistie présidentielle, déjà réduite à portion congrue depuis 2002, avant d'être jetée aux oubliettes en 2007, ne renaitra pas de ses cendres cette année.