Le temps où l’on pouvait stationner son deux-roues motorisé là où, simplement, il y avait de la place pour le faire, est révolu. En région parisienne, l’engrenage de la réglementation stricte a été enclenché soit avec un système payant, soit par une chasse organisée pour rabattre les engins vers la fourrière. Sachez-le, avoir un scooter et une moto n’immunise plus sur le souci de le garer pour aller ensuite vaquer à ses occupations. Pour les politiques, c’est un moyen de rationaliser l’espace, pour les automobilistes c’est une procédure élémentaire pour être tous égaux devant la loi. Et pour nous, c’est un nouveau poste budgétaire à ouvrir…