Par rapport à son aînée, elle a encore grandi – comme toutes les nouvelles générations de Golf vis à vis de leur devancière – et tente encore de séduire avec les mêmes recettes : une belle finition intérieure, une personnalité affirmée et des moteurs TDI très affûtés. Mais elle n'est plus aussi souveraine que ses aïeules et se fait rattraper par des concurrentes extrêmement talentueuses elles aussi. Ce dont le marché de l'occasion a parfois du mal à se rendre compte, ce qui implique des niveaux de revente couramment surévalués, bien que la surcote précédemment enregistrée ne soit plus totalement de mise aujourd'hui.
Audi TT
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Très convoitée, cette sportive racée d'abord sortie en coupé puis également proposé par la suite en découvrable, continue de susciter les convoitises. Résultat, sa cote demeure élevée. Mais le potentiel de plaisir qu'elle offre incitera certains à franchir le pas… à condition que l'étroitesse de son habitacle ne constitue pas un obstacle évident : familles nombreuses non désirables !
Audi A6
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Cette belle routière à la ligne très fluide jouit d'un prestige quasi égal à celui qu'offre une Mercedes ou une BMW. Mais, s'il est exact que sa qualité de finition n'a rien à envier à ses deux concurrentes allemandes, elle a en revanche été affublée durant sa carrière de nombreux défauts techniques, qui peuvent franchement faire hésiter au moment de l'achat. Le tout est de bien cerner les versions touchées, ainsi que les années sensibles : car il existe des modèles de cette génération d'A6 qui bénéficient pleinement de la qualité de construction attachée à la marque, sans pâtir des défauts rencontrés en cours de carrière. L'offre est essentiellement concentrée sur les modèles diesel.
Auréolée d'un incontestable prestige, cette berline, également déclinée en break, baptisé "Avant", excite toutes les convoitises. Réputée pour sa classe et sa très grande qualité de fabrication, elle incite les vendeurs à en demander un prix très exagéré en occasion. Il faut dire que ses prestations sont au dessus de la moyenne, dans à peu près tout les domaines. Y compris celui du coût d'utilisation, lui aussi "costaud". Restylée en 2004, elle passe du nom de code B6 à B7 ce qui fait dire à Audi que c'est une nouvelle génération, mais la base technique et la planche de bord restent identiques.
Audi A4
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Elle a souvent été saluée pour sa grande rigueur de conception, sa finition très avantageuse et ses moteurs diesels à la fois sobres et performants. Le tableau serait donc idéal, s'il n'y avait, en dépit de sa réputation bien établie de fiabilité, toute une série de défauts souvent importants, qui entravent l'utilisation et conduisent à des dépenses parfois très lourdes. La bonne réputation de la marque se trouve ainsi bafouée. En attendant, même si la voiture se présente toujours sous des aspects très attrayants en occasion, il vaut mieux choisir sa version avec soin et éviter les versions à pièges. D'autant que les prix en occasion restent, eux, toujours élevés par rapport à l'âge des modèles, et même à leur kilométrage souvent important.
Elle a repris le flambeau de sa devancière, en cultivant les mêmes recettes : une belle qualité de fabrication qui s'illustre en particulier par une finition intérieure au-dessus du lot, un bel ensemble de qualités de dynamisme et de sécurité, et des moteurs diesels dont le rendement est toujours aussi convaincant. Mais tout cela se paie cher. Fort cher. Il faut bien le savoir avant d'acheter. D'autant que certains frais fixes (assurance, entretien) ne sont pas non plus donnés du côté de chez Audi.
Audi A3
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Ce petit objet automobile, souvent très convoité, suscite encore bien des désirs, et se revend allègrement… très cher. Même si cette première génération d'A3 n'est pus fabriquée, elle continue à jouir d'une réputation infaillible, et pas toujours justifiée. Soyez donc attentif aux points de faiblesse typiques de ce modèle, et gardez à l'esprit que cette voiture, certes bien conçue à son époque, relève aujourd'hui d'une époque déjà un peu reculée.
Alfa 166
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Cette belle et grande berline italienne, au style effilé, a toujours été très discrète sur notre marché. Elle n'en est que plus désirable. D'autant que ses prix, malgré ses talents réels et son fort potentiel de séduction, demeurent assez bas. Comme, par ailleurs, sa qualité de fabrication est plutôt bonne et qu'elle a tourné le dos aux anciens démons de la marque en matière de pannes, l'achat est véritablement tentant. Aussi bien en essence – ah, les beaux moteurs ! – qu'en diesel. Malgré sa longue carrière, elle ne se trouve qu'au compte-gouttes sur notre marché.
Ces modèles, déclinés en coupé et en cabriolet, ont marqué les esprits lors de leur présentation par leur esthétique singulière et audacieuse. C'est d'ailleurs là leur principal atout. Ainsi que leurs moteurs, assez vivants et communicatifs dans l'ensemble. Car pour le reste – habitabilité, confort, rigueur de tenue de route – ces voitures certes attachantes ne sont pas championnes. Elles s'adressent plutôt à ceux qui sont prêts à craquer sur un coup de cœur en acceptant, au quotidien, une voiture entachée de réels défauts.
Alfa 147
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Cette berline à 3 ou 5 portes a pris la relève du duo 145/146 en renouvelant magistralement aussi bien le style que la conception technologique. Elle n'apparaît que comme un dérivé compact de la berline 156, née trois ans avant elle. Dotée d'une face avant qui rappelle délicieusement les calandres historiques de la marque, elle a pour elle une esthétique alléchante, qui fait quasiment l'unanimité. Elle se veut également élégante, avec une finition intérieure de style classique mais à l'opposé de toute approximation ou de toute négligence. Au final, une bien belle et bonne auto.
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