
Depuis le 1er janvier 2017, les employeurs ont l'obligation de donner le nom du conducteur qui se trouvait au volant d’un véhicule de l’entreprise lorsque celui-ci a été verbalisé pour une infraction au Code de la route. Nous voilà en 2018, un recul qui permet de faire des bilans. Parmi ceux-là, une tendance forte voulant que les infractions commises avec ce type de véhicule soient en forte baisse.