Cette année 2017 aura écorné encore un peu plus les réputations les plus solidement ancrés dans l’inconscient collectif par des décennies de travail minutieux et de stratégie bien orientée. La « deutsche qualität » a disparu sous la fumée du diesel Volkswagen et voilà que le « made in Japan » se corrode à vitesse grand V au contact des errements d’une industrie nippone décidément loin d’être irréprochable. Dernière attaque en date, d'une série de scandales sur le contrôle de la qualité. Mitsubishi a expliqué pourquoi il en était arrivé là. Et ça tombe tout simplement sous le sens…
Les collectivités françaises raffolent des ronds-points. 500 poussent sur des carrefours chaque année. Ce qui a un coût, surtout si une œuvre d'art est ajoutée au milieu.
Porsche a récemment mis sa nouvelle GT2 RS à l'assaut du Nürburgring avec un temps forcément canon. Mais cette tentative de record là est bien plus originale : une Panamera qui remorque un tracteur diesel (Porsche, évidemment) sur les nombreux lacets de l'enfer. Et le pire, c'est que le temps n'est pas ridicule.
Il paraît selon certaines données que le véhicule de collection soit en perte de vitesse de l’autre côté de l’Atlantique. Peut-être, mais certaines reliques de l’histoire gardent invariablement leur quotte et c’est ce qui devrai ressortir de cette prise de guerre du second conflit mondial. Une Mercedes-Benz 770K Grosser aussi connue sous le nom de « Super Mercedes », produite à quatre exemplaires seulement pour un dictateur hélas bien connu.
Les constructeurs de prestige comme Koenigsegg, Bugatti ou encore Hennessey ne sont pas soumis aux mêmes contraintes que les grandes marques. Ils n'ont en effet pas d'obligation formelle de présenter des voitures aux crash-tests. Koenigsegg l'a fait malgré tout, avec une Regera à plus de 2 millions d'euros.
La Jaguar E-Pace sortait il y a quelques jours de l'élection de la plus belle voiture de l'année 2017, le SUV anglais étant le premier évincé. Hier, une nouvelle auto a été éliminée. Découvrons ensemble quelle voiture ne fait plus partie de la sélection...
Quels étaient vos rêves quand vous aviez 10 ans ? Pompier ? Médecin ? Grand athlète international ? Tout ceci est bien banal pour Paul, pour qui la plus grande consécration serait de prendre la place de Matthias Müller, patron du groupe Volkswagen. Groupe qui lui a fait un petit cadeau pour Noël.
Le nom d’Uber a imposé dans le paysage de la mobilité le concept du VTC (véhicule de transport avec chauffeur) qui, lié avec une application efficace, vous permet d’aller d’un point A à un B facilement, à vil prix et pratiquement sans délai. Une opportunité que les faits et usages ont fait entrer dans des domaines jusque-là improbables. Ainsi aux États-Unis. Un AVC ? Appelez donc un VTC pour être évacué vers votre hôpital préféré…
L’application Waze, lorsqu’on y a goûté, on a du mal à s’en passer ? Il faut bien reconnaître que l’enseigne rachetée par Google en 2013 a changé pour l’optimiser le concept de la navigation pour l’usager de la route. Rien n’y manque et surtout pas la réactivité face à un danger ou une congestion. La route est à vivre sur le mode du « crowdsourcing », la communauté fait vivre le trajet, la panacée. Enfin, pas vraiment. Car ceux qui, jusque-là vivaient heureux en étant cachés des panneaux directionnels se sont retrouvés être des itinéraires de délestage idéaux, ce qui ne va pas sans inconvénient…
Il s’en passe de belles sur nos autoroutes et notamment dans le sens nord sud. Des infractions de poids qui vont de 3,69 grammes à 4,3 tonnes… Un grand écart qui est une vue d’esprit, mais des chiffres et des valeurs qui font froid dans le dos car potentiellement accidentogène. Les gendarmes, durant cette période de fêtes, sont particulièrement occupés, la preuve…
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