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Beijing Auto, qui est déjà associé à Mercedes et Hyundai en Chine pour la production locale, envisage d'acquérir « trois constructeurs européens » pour développer son activité en Europe, avec comme objectif 400 000 véhicules par an hors de Chine, et ce, dès 2020.

Depuis son lancement, le Peugeot 2008 séduit et les clients arrivent en nombre, à tel point que la direction augmente le rythme de production régulièrement. Désormais, avec 26 000 commandes sur la table, Peugeot crée 200 postes de plus sur le site de Mulhouse.

Voici venu le moment de notre revue de presse hebdomadaire. Tous les articles de ce jour sont dus à nos confrères de La Tribune.

Tesla commence à récolter les fruits de son parti pris technologique avec la Model S dont les ventes se portent bien aux USA. L'auto sera bientôt commercialisée en Europe et donc en France, mais, ça tombe mal, le Store Tesla parisien va fermer ses portes à la fin du mois sans avoir d'autre point de chute pour le moment.

Si vous suivez de près l'actualité – pas nécessairement automobile _ vous avez peut-être entendu que l'Allemagne et la Chine s'opposaient sur le domaine particulier des panneaux solaires. La Chine ayant la capacité de produire nettement plus que la demande mondiale, les prix ont mécaniquement chuté lorsque le pays s'est mis à exporter ses excédents de marchandises, tuant ainsi les producteurs européens. Un problème que l'on pense marginal mais qui pourrait très vite concerner l'automobile. Dès 2018 selon le Wall Street Journal.

L’année prochaine sera importante pour les constructeurs français en matière de petites citadines. Ils feront en effet feu de tout bois grâce à l’arrivée, chez Renault, d’une nouvelle Twingo et, chez Citroën et Peugeot, des remplaçantes des C1 et 107, lesquelles présenteront quelques similitudes…

Le marché européen repart à la baisse. Les immatriculations de voitures neuves chutent de 5,9 % à 1,04 million d'unités, soit la plus mauvaise performance depuis 1993, nous révèle aujourd’hui l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA).

A l'origine, elle ne devait pas prendre pied en Europe occidentale, et pourtant, en quelques années, elle a réussi à faire de Renault sa marque de luxe. Son nom ? Dacia, une Roumaine aux atours qui vaut tous les détours, mais aussi la révélation de l'état du marché et de la santé de l'automobiliste désabusé.

Les actions conjuguées d'une déprime persistante de notre marché automobile consciencieusement laminé par d'énergiques politiques anti-voiture et d'un marché automobile anglais passionné résistant bien à la crise font que d'ici peu, nos voisins d'Outre-Manche achèteront bientôt plus d'automobiles que nous. Et ils deviendront ainsi le deuxième plus gros marché européen derrière celui de nos autres voisins d'Outre-Rhin, pour qui la voiture signifie encore quelque chose de valorisant et de plaisant.

Le mois de janvier aura été catastrophique pour la production automobile française avec – 13 % mais l'INSEE nous rapporte que depuis, les choses s'arrangent et la balance est même revenue dans le positif pour les quatre premiers mois de 2013.