En instaurant des pénalisations aux entreprises qui ne respectent pas leur engagement légal de verdissement, le Sénat relance, de façon connexe le développement des infrastructures électriques sur les parkings privés des grandes sociétés, mais aussi les espaces de stationnement des centres commerciaux. .
Le gouvernement instaure des sanctions à l’encontre des entreprises qui ne respectent pas leur obligation légale en matière de verdissement de flottes. Et distille quelques subtils aménagements pour les accompagner sur le chemin de la décarbonation. L’art de ménager la chèvre et le chou.
Les Français montrent un intérêt grandissant pour les voitures électriques, mais considèrent leurs prix trop élevés pour pouvoir les acquérir. Y compris sur le marché de l'occasion.
Même après plusieurs années d’utilisation, les batteries des véhicules électriques conservent une excellente capacité d’autonomie et de performance. Une bonne nouvelle pour le marché de l’occasion.
Les règles de l’URSSAF permettant de recharger sa voiture électrique ou hybride gratuitement sur son lieu de travail pourraient ne pas être reconduites en 2025.
Les loueurs longue durée s’opposent à la surtaxe des avantages en nature pour les voitures de fonction. Une réforme à 4 milliards d’euros.
L’automobile serait-elle la variable d’ajustement du budget de l’État ? Au vu des dernières dispositions prises ou envisagées par l’exécutif, il y a de quoi se poser la question. Professionnels et particuliers, tout le monde est touché.
Possible sortie des véhicules hybrides rechargeables du cadre du verdissement des flottes et avènement dès 2025 de sanctions financières pour non-respect de la transition écologique, une valse à deux temps, vécue comme une double peine par les gestionnaires de flottes.
Sur les dix premiers mois de l’année, les entreprises françaises dépassent le quota de 20 % de véhicules propre dans le renouvellement de leur parc. Mais ce ne sont pas celles qui en ont l’obligation légale qui sont forcément les plus vertueuses. D’où la crainte des sanctions.
Auditionné par les députés européens en vue de sa nomination au poste de commissaire européen à la Prospérité et à la Stratégie industrielle, l’eurodéputé français Stéphane Séjourné a détaillé les mesures pour redresser l’industrie européenne et relancer le marché automobile électrique. L’audition d’un bon élève prudent et vague.
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