L’original – Faisant partie de la gamme dite version longue de la 404, la familiale bénéficiait d’une présentation soignée. Ainsi elle disposait-elle d’une calandre à quatre barres horizontales, en retrait de l’avancée du capot, de la planche de bord de la berline. En version essence, elle disposait du 4 cylindres de le 1.618 cm3 de la berline, d’une puissance de 80 ch à 5.600 tr/mn lui permettant une vitesse de pointe de l’ordre de 145 km/h.
La miniature – Déjà proposé dans les collections, camionnettes d’antan (n° 26, aux couleurs de l’insecticide Catch) et voitures d’antan (n° 57), ce break réduit par Ixo nous est devenu familier, d’autant qu’il n’a subit que des corrections mineures depuis sa première parution fin janvier 2006. Le voici pourtant proposé aujourd’hui dans la collection Michelin dans une décoration des plus minimalistes qui soient. Ainsi, la ligne générale de l’original est assez facilement reconnaissable de loin et de trois-quarts avant. Toutefois il convient de s’interroger sur la raison de cette nouvelle livrée ivoire alors que nous sommes censés être encore en présence de la version sommet de gamme pour la 404 longue, version qui disposait de peintures métallisées, dont un très joli gris. Malgré tout, en s’approchant il est permis de constater enfin la présence du monogramme 404 à l’avant du capot (oubli sur les deux premiers). Cependant, le capot ne déborde toujours pas au-dessus de la calandre. Le pli qui court au sommet des ailes avant n’est toujours pas représenté sur la miniature et les phares sont toujours dépourvus de la casquette caractéristique des 404 avec ce fameux pli ; mais ils disposent de l’entourage chromé propre à cette version. Les clignotants doivent être blancs et non oranges comme reproduits. La tranche avant de ces ailes, dépassait légèrement le plan incliné de la calandre. De son côté, la calandre, bien que correctement barrée par quatre joncs horizontaux, n’ait pas encastrée. De profil, si le pare-brise et son montant manquent un peu d’inclinaison, le montant du pied milieu aurait dû être vertical. Les roues sont dotées d’enjoliveurs de grand diamètre correspondant à cette version. A l’arrière, le pli du hayon, en-dessous de la lunette arrière est fort peu prononcé, voire absent. De plus, les blocs des feux arrière de la 404 longue étaient tout en plastique. De fait leur entourage chromé n’a pas lieu d’être sur cette miniature. L’intérieur noir, et bordeaux pour les sièges, révèle la présence d’une planche de bord correspondant à la première version des 404. Toutefois le plancher arrière est couleur caisse alors que sur la version des voitures d’antan (break gris) le plancher est couleur des contreportes. Le soubassement est peu détaillé mais la miniature roule bien.
PEUGEOT 404 break – Ixo – collection Michelin, n° 47
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