« Aujourd’hui nous y vendons autour de 200 000 véhicules, soit 14 % des 1,4 million de véhicules neufs achetés en 2010 en Afrique (…) mais, à l’horizon 2017-2018, nous tablons sur un marché africain de 2 millions de véhicules, et nous nous sommes donné l’objectif d’en accaparer 15 % donc d’y vendre 100 000 voitures de plus par an. »


Pour y parvenir, Toyota prévoit d’élargir son offre : « Nous devrons aussi présenter à la clientèle citadine et féminine des voitures de plus petite taille (…) »


Toyota a identifié ses marchés prioritaires : l’Angola, le Nigeria et l’Ethiopie en Afrique subsaharienne, le Maroc au nord du Sahara, mais aussi l’Egypte. Egalement ses principaux concurrents : Volkswagen en Afrique du Sud, les constructeurs français au Maghreb. Mais Toyota se méfie aussi de Hyundai : « Ailleurs sur le continent, les volumes sont plus faibles et la structure du marché dépend de l’histoire de chaque pays, mais Hyundai fait de belles performances. »


Source : Jeune Afrique