La divulgation de secrets d’entreprise aurait permis à deux des trois accusés de Renault d’empocher une quantité d’argent importante provenant d’un grand acteur chinois de la distribution électrique.
La direction centrale du renseignement intérieur favorisait cette piste. Pour le ministre des affaires étrangères chinois : «Ces accusations sont sans fondement et irresponsables. La partie chinoise ne peut les accepter». Le porte-parole du gouvernement français, François Baroin, réagissait aux propos de Hong Lei. Il annonçait : "Il n'y a pas d'accusation officielle de la France et du gouvernement français à l'égard d'aucun pays aujourd'hui. Nous sommes dans le cadre d'une enquête"
Pierre Desjardins recueille les paroles tenues par la Ministre de l’économie et les avocats des cadres de Renault licenciés dans cette affaire d'espionnage. Le constructeur allait porter plainte.
Placide affiche un Carlos Ghosn pressé de tenir les coupables.
Retrouvez tous les dessins de Placide sur son site.

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