On vous a déjà fait découvrir la berline hier, voici le break. Dans les grandes lignes, il est strictement identique, c'est uniquement sur la partie arrière et le volume de coffre que les différences sont évidemment à lister. Ainsi la ligne reste sobre et classe, le hayon est assez incliné, ce qui n'empêche pas le volume de coffre d'être en augmentation par rapport à la berline. De 480 litres on passe à 505, ce qui n'est pas non plus exceptionnel dans la catégorie, une simple Golf SW cubant par exemple 605 litres et une Passat SW 650. La longueur est strictement identique à celle de la berline, soit 4,73 m.

Petite astuce, le cache bagage remonte automatiquement à l'ouverture du hayon, un système déjà vu mais toujours appréciable.


L'habitacle reste identique, sobre, classique, classe, sans fioritures, mais d'une qualité de réalisation sans faille. L'organisation des commandes et du dessin est beaucoup plus horizontale. Contrairement à l'extérieur, ça change.

Audi A4 Avant : pratique - En direct du salon de Francfort 2015

Les moteurs seront ceux de la berline, soit en essence un 1.4 TFSI de 150 ch, un 2.0 TFSI de 190 ou 252 ch et en diesel un 2.0 TDI de 150 ou 190 ch et un V6 3.0 de 218 ou 272 ch.


Les équipements font le plein de nouvelles technologies, avec toutes les aides à la conduite que l'on peut trouver aujourd'hui sur le marché, plus le système de conduite prédictive, qui, grâce aux capteurs de la voiture et aux données du GPS, permet à l'auto de rouler toute seule en adaptant sa vitesse au profil de la route, il n'y a plus qu'à tourner le volant. On retrouve aussi le "virtual cockpit" inauguré sur le TT, qui permet de configurer à loisir le combiné d'instrumentation, tout numérique (en option).


Les prix sont supérieurs de 1 500 € à ceux de la berline, ce qui met ce break à partir de 32 250 €. Commercialisation en novembre.


L'instant Caradisiac : foule sentimentale

Il y a du monde à Francfort, c'est un fait. Beaucoup de monde. Mais il y en a encore plus sur le stand Audi. Tout ça pour venir voir des voitures qui changent à peine par rapport à leur devancière. Des sentimentaux sans doute… Sans mentir, il nous a fallu au moins trois fois plus de temps que pour d'autres modèles pour réaliser notre reportage et faire des photos potables avec une voiture en entier. C'est fatigant, usant et épuisant pour les nerfs. Bon, ça y est j'ai fait ma pleureuse, je peux reprendre le boulot.

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