
La septième manche des Grands Prix avait pourtant bien débuté. Un soleil radieux, une tempête de ciel bleu, un duel en Lorenzo et Viñales en MotoGP, un Zarco en forme en Moto2 et des débats ouverts en Moto3. Puis il y a eu le coup de tonnerre.
La septième manche des Grands Prix avait pourtant bien débuté. Un soleil radieux, une tempête de ciel bleu, un duel en Lorenzo et Viñales en MotoGP, un Zarco en forme en Moto2 et des débats ouverts en Moto3. Puis il y a eu le coup de tonnerre.
Pour les déçus du week-end dernier, voici le lot de consolation de choix : un nouvel épisode du feuilleton dédié à Valentino Rossi. Le dernier Grand Prix d'Italie vous a laissé comme un goût de cendre en voyant la Yamaha frappée du 46 casser ? Des espoirs de victoire partis en fumée au sens propre comme au figuré.
Tout était en place pour un succès retentissant qu'il avait prédit dès la fin du Grand Prix de France au Mans. Avec sa Yamaha et ses Michelin, Valentino Rossi se sent bien cette année et il se délectait d'avance de son rendez-vous national au Mugello.
C'est Jorge Lorenzo qui a fini par sortir grand vainqueur d'un Grand Prix d'Italie que beaucoup voulaient gagner cette année. A commencer par Rossi qui partait de la pole-position, sans oublier les Ducati et un Márquez en embuscade.
Il a caché son jeu durant toutes les séances d'essais libres avant de se révéler seulement dans les dernières minutes de la qualification de son Grand Prix d'Italie. Et prendre sa 63ème pole position de carrière. D'aucuns disent qu'il a tiré parti d'un Viñales placé devant lui et complice de l'exploit, à commencer par son équipier Lorenzo.
C'est un public comblé qui a assisté sous un soleil radieux à la conquête de sa 63ème pole-position absolue un Valentino Rossi qui a donné la jaunisse au Mugello. Pendant ce temps, son futur équipier Viñales le jeune lui servait de lièvre. A son corps défendant ? Les adversaires directs du, Doctor eux, rient jaune.
Le Grand Prix d'Italie est un rendez-vous incontournable pour le fabricant de casque de Valentino Rossi. Ce dernier, en effet, à chaque édition, sort un opus à lé décoration spécialement pensé pour l'occasion. Cette édition au Mugello n'a pas échappé à la règle. Avec cependant une inspiration qui nous laisse sur notre faim.
Valentino Rossi a bien commencé son Grand Prix d'Italie. Une épreuve qu'il a déjà remportée neuf fois dans sa carrière et cette année, il se sent prêt pour la dixième. Sixième de la première journée, il n'est surtout qu'à deux dixièmes de son équipier Lorenzo second de Iannone.
L'entame du Grand Prix d'Italie aura eu un goût de revanche pour Iannone, Zarco et Ono. L'un n'a pas été retenu par l'usine Ducati, l'autre sort d'un Grand Prix de France décevant tandis que le dernier sort rarement de l'anonymat. Ce sont pourtant eux qui ont tenu la vedette de ce premier jour au Mugello.
En automobile, il y a la voiture autonome et en moto, il y a le motard robot. On fait décidément les choses à l'envers chez nous, mais l'exploit technique y est peut-être plus marqué. Yamaha travaille sur le sujet et a réussi à mettre au point un Motobot qui surprend à chaque sortie.
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