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On ne peut pas dire que, jusqu’à présent, le tracé de Misano a été favorable aux Ducati. Le constructeur ne s’y est en effet imposé qu’une seule fois, en 2007 avec Casey Stoner. Depuis, la firme de Bologne a inscrit deux podiums avec Toni Elias (2008, 3e) et Valentino Rossi (2012, 2e). Mais Cette année, les choses semblent mieux se présenter. Petrucci est en tête tandis que Dovizioso, en tête du championnat avec quatre victoires cette saison est un solide troisième. Alors, un nouvel exploit de DesmoDovi ?

Loris Baz a terminé sa première journée du Grand Prix de San Marin à la quatorzième place. C’est un rang de mieux que le classement de son équipier Barberá. Pour la suite, le Français espère suffisamment progresser sur sa Ducati GP15 pour s’inscrire parmi un top 10 qui lui ouvrirait les portes de la Q.2. C’est tout le mal qu’on lui souhaite dans un contexte où une des deux motos du team Avintia reviendra en 2018 à Tito Rabat tandis que ni Barberá, ni Baz, ne sont assurés d’un quelconque avenir en MotoGP pour le moment…  

La première journée de Johann Zarco à Misano ne paraît pas particulièrement réussie au vu du résultat affiché. Une chute le matin, une douzième place l’après-midi, le Français n’impressionne certes pas, mais, comme à son habitude, il a accompli un sérieux travail de fond qui devrait lui permettre de monter en puissance. Le tout avec l’aide du nouveau carénage Yamaha dont il est satisfait.

C’est parti pour un Grand Prix de San Marin qui espère profiter du soleil de Misano pour faire venir un public qui devra faire sans Valentino Rossi. La fibre nationale transalpine peut aussi être un argument pour consoler la foule dévouée au Doctor et c’est Ducati qui se charge de l’entretenir en présentant un beau tableau d’ensemble sur la feuille des temps du premier jour. Qui plus est, c’est un Italien qui vire en tête : Danilo Petrucci.

Ce sera le grand absent de ce Grand Prix de San Marin qui marquera ce week-end le treizième rendez-vous de la saison de MotoGP. Valentino Rossi, on le sait, s’est blessé en s’entraînant en enduro. Une chute qui lui a coûté une double fracture de la jambe droite et l’obligation d’une période de convalescence estimée entre 30 et 40 jours.

Loris Baz ne sait toujours pas de quoi sera fait son avenir en 2018. En MotoGP, sa place est plus que convoitée et son écurie ne lui a donné aucune indication sur une tendance à laquelle il pourrait se raccrocher pour envisager la suite. Le second Français du plateau doit donc continuer à montrer qu’il mérite sa place en ramenant de la piste des résultats probants.

La treizième manche du championnat MotoGP sera lancée ce week-end du côté de Misano pour un Grand Prix de San Marin qui sera orphelin de Valentino Rossi. Un absent de marque, et d’abord pour Yamaha qui ne remplacera pas son Doctor en convalescence d’une double fracture de la jambe droite. Néanmoins, la marque au diapason pourra toujours compter sur son Français Johann Zarco qui avait remporté la victoire il y a un an, en Moto2, sur ce tracé.

Opéré dans la nuit de jeudi à vendredi d'une fracture tibia péroné de la jambe droite, Valentino Rossi est sorti de l'hôpital d'Ancône ce samedi. Une blessure contractée après un accident lors d’un entraînement d’enduro. Le temps de convalescence va maintenant être entamé et il est estimé entre 30 et 40 jours, ce qui devrait contraindre le Doctor au forfait pendant au moins deux Grands Prix.

Valentino Rossi a sérieusement mis en péril ses chances de dixième titre mondial cette année en se fracturant le tibia et le péroné de la jambe droite après une chute lors d’un entraînement en enduro. Cette jambe, c’est aussi celle qui avait été cassée en 2010 au Mugello lors du Grand Prix d’Italie. Cette fois, c’est le prochain Grand Prix de San Marin que le Doctor va rater. Et sans doute encore quelques Grands Prix…

De l’Italie nous vient une nouvelle que l’on peut évaluer comme pire que mauvaise. Alors qu’il s’entraînait en faisant de l’enduro, Valentino Rossi serait tombé lourdement. Il aurait été relevé avec une fracture tibia péroné lui promettant une opération dans la nuit. Si tout ce conditionnel devait se conjuguer au présent, cela voudrait dire que Vale devrait encore attendre pour récolter un dixième titre.