Ce lundi, Leapmotor a dévoilé un bénéfice net ajusté de près de 4 millions € pour le premier semestre 2025. Le partenaire de Stellantis avale les performances avec un appétit d’ogre et compte sur l'Europe pour se rassasier.
Ford a annoncé lundi son intention d’investir environ 5 milliards de dollars pour relancer son programme de véhicules électriques. Pour cela le constructeur américain n’hésite pas à « révolutionner » son modèle de production industrielle inventé en 1913 par henry Ford.
Northvolt, le fabricant suédois de batteries vient d’être racheté par une startup américaine. De quoi envisager de nouveau l'émergence d'un champion européen face à la concurrence asiatique ? Bien des questions demeurent encore en suspend.
Face à la concurrence des constructeurs chinois, General Motors (GM) et Hyundai Motor ont annoncé un partenariat stratégique pour co-développer cinq véhicules en commun.
Honda Motor a annoncé mercredi une baisse de son bénéfice d'exploitation entre avril et juin. Pourtant le constructeur japonais donne des gages d'optimisme pour l'avenir.
Blacklisté aux États-Unis, le groupe chinois empoche des milliards de dollars d'investisseurs institutionnels américains à la bourse de Hong Kong pour financer son développement en Europe. Un joli tour de passe-passe au nez et à la barbe de Donald Trump.
Cupra accélére sa stratégie d'électrification en Espagne. Les premiers systèmes de batteries de présérie viennent d'être assemblés. Alors que les concurrent chinois comme Leapmotor et Chery disposes déjà d'unités de production dans le pays.
La dernière usine automobile de la région parisienne pourrait laisser sa place au futur complexe footballistique du PSG. De quoi relancer les spéculations sur la fermeture prochaine du site.
Billet d'humeur
C’est déjà le cas entre Renault et Geely ou Stellantis avec Leap Motor. Mais la question se pose de toute urgence pour nos gigafactories de batteries.
Billet d'humeur
Le 7 mars prochain, l'usine des anneaux de Forest, dans la banlieue de la capitale belge, va fermer ses portes, entraînant au passage la mise au chômage de 3 000 salariés. Une catastrophe symptomatique des errements stratégiques de la marque, et au-delà, d'une bonne partie de l'industrie automobile.
