Il est loin de temps où les constructeurs automobiles voyaient dans la Chine un Eldorado. Le rêve est devenu cauchemar et la plupart des marques préfèrent jeter l'éponge. Dernier exemple en date : Honda et sa filiale de luxe Acura, mais d'autres ont déjà fait leurs valises.
La citadine française détrône la Volkswagen Golf. Si certaines voitures françaises plaisent beaucoup, d'autres ont connu de fortes déconvenues, dans un contexte il est vrai délicat.
A Bruxelles, Peugeot met en avant une gamme très…prisée, dirons-nous.
Le groupe Stellantis a beau avoir dominé le marché français en 2022, cela ne l'empêche pas d'avoir mis en place une réorganisation complète des points de vente qui va se solder par la disparition de 20 % d'entre eux afin de limiter les coûts mais surtout de mieux contrôler les prix de vente.
Selon le Directeur général de Stellantis, il faut notamment se préparer à un "combat terrible" avec les constructeurs chinois.
Rattachée au groupe Renault en 1999 par Louis Schweitzer, le patron du constructeur au losange de l'époque, la marque d'origine roumaine est une vraie success-story, qui suscite beaucoup de jalousie. Dernier exemple en date, Carlos Tavares, Directeur Général de Stellantis, qui réfléchit à importer des Citroën fabriquées en Inde afin de concurrencer la Spring de chez Dacia.
Engagé à fond dans la transition énergétique, Stellantis a de grandes ambitions pour son site de Trémery, en Lorraine. Une usine au sein de laquelle le groupe compte produire plus d’un million de moteurs électriques M3 chaque année dès 2024.
Après la fusion de PSA et FCA avec la fondation de Stellantis, chacune des marques intégrées au nouveau groupe n'aura que dix ans pour se battre et prouver qu’elle mérite de survivre. Heureusement, "les choses se passent bien pour le moment".
Route de nuit - Lancia PU+RA : sculpture et manifeste
, mis à jour 29
Souvent la question se pose de situer la frontière entre les arts majeurs et les arts appliqués. Le manifeste de Lancia apporte des éléments de réponse.
D’après le patron de Stellantis Carlos Tavares, il serait actuellement trop coûteux de construire des voitures électriques en Europe. Il préférerait les fabriquer en Inde.