
Un bilan de l'actu promis sans blague en ce 1er avril. Au menu : une belle exclu sur Caradisiac, une bonne idée de la part de Renault et de mauvaises nouvelles pour notre portefeuille (encore, oui).
Un bilan de l'actu promis sans blague en ce 1er avril. Au menu : une belle exclu sur Caradisiac, une bonne idée de la part de Renault et de mauvaises nouvelles pour notre portefeuille (encore, oui).
C’est une mesure qui mérite d’être éclaircie car imaginer qu’elle soit applicable en l’état relève du miroir aux alouettes. En vigueur depuis le 1er janvier l’interdiction annoncée des vitres surteintées se caractérise surtout par son opacité. Les forces de l’ordre œuvrent portant puisqu’on annonce 12 000 verbalisations. Mais il y a aussi beaucoup de classements sans suite.
Depuis, le 15 janvier 2017, les voitures âgées et donc non-éligibles à la vignette Crit'Ait sont interdites de circulation en semaine à Paris. Pour autant, les sanctions prévues en cas d'infraction sont-elles réellement mises en oeuvre par les forces de l'ordre? C'est l'objet de notre test.
Le « faites ce que je dis mais pas ce que je fais » est un concept que l’État ne voudrait pas voir décliner à ses administrations dans le domaine de la sécurité routière. Nos agents du fisc, d’une efficacité redoutable pour ce qui est de leur domaine de compétence, ne seront pas ceux à qui on reprochera un arrièré de comportent ou un redressement de la vitesse une fois derrière un volant. Et pour cause : le ministère de l’Économie et des Finances vient très officiellement de s’engager dans une action exemplaire en faveur de la sécurité routière.
Les affres de la garde à vue policière ne sont plus un secret pour l'actrice Elsa Zylberstein qui joue cette fois une dramatique scène de sa propre vie. Celle qui a été récompensée par un César de la meilleure actrice dans un second rôle est cette fois la principale protagoniste d’une affaire de délinquance routière. Les faits reprochés relèvent du délit de fuite, su défaut de permis et de blessures involontaires aggravées.
Au Havre, le conducteur d'une voiture a été arrêté avec un gros taux d'alcool dans le sang. Jusque-là, rien d'extraordinaire. Mais la police a par la suite retrouvé sur la route le même véhicule, avec un autre pilote tout aussi éméché.
Les appareils seront utilisés pour faire les premiers constats sur les lieux d'un accident, avec deux gros avantages : une meilleure collecte d'informations et un gain de temps qui permet de réduire le risque de suraccident.
Un gyrophare, les sirènes hurlantes, tout le monde sait ce que cela veut dire et implique : des secours sont en intervention et il faut leur faciliter le passage. Le Code de la Route, dans ces cas-là, est pour mémoire et il appartient aux intervenants d’user de cette prérogative avec discernement et prudence. Mais à Poitiers, il peut en être autrement. Une ambulance en fonction peut ainsi être poursuivie par la Police qui veut la contrôler. Une guerre des gyrophares qui a tout de même failli mal tourner.
Les ressources de la justice sont inépuisables. Tandis qu’au sommet de la pyramide, on apprend que l’on peut être coupable mais sortir pourtant d’une Cour de justice de la république sans encourir la moindre peine, voilà qu’en bas, on peut être condamné sur la base d’une procédure nulle. Ainsi est-ce le cas du côté de Châtellerault à la suite d’une alcoolémie positive au volant.
Il n’y a pas si longtemps, c’était un marronnier aux airs de brandon de discorde. Une triste tradition inaugurée au début de ce siècle par la ville de Strasbourg : lors du passage d’une année à l’autre, les voitures étaient prises nuitamment de combustion spontanée. Le réveillon est passé et le sujet brûlant n’a pas fait de flamme. Pourtant, le phénomène existe toujours et il s’est même aggravé. Mais en période préélectorale, le rideau de fumée s’impose.
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