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C’est une affaire arrivée devant le tribunal correctionnel de Paris qui serait peut-être passée inaperçue si, entre-temps, le scandale des moteurs truqués chez Volkswagen n’avait pas éclaté. La preuve que cette affaire touche tout le monde automobile dont l’honnêteté et l’équité se trouvent sur la sellette. Un cas qui plus est qualifié de «pratiques commerciales trompeuses», ce qui sent le soufre dans une conjoncture générale marquée par les émanations de diesel. Ceci dit, ici, il s’agit plutôt d’éthanol.

La General Motors n’en a peut-être pas fini avec ses problèmes d’allumage. Alors que Volkswagen commence à contester au blason américain le titre de la plus grosse et de la plus onéreuse campagne de rappels de véhicules sur la planète, un nouveau souci se présente pour la marque qui a récemment accepté de verser 793 millions d'euros pour obtenir l'arrêt d'une procédure judiciaire aux Etats-Unis. Dans un premier temps, 3.300 véhicules, essentiellement en Amérique du Nord, vont être rappelés.

General Motors existe depuis plus de cent ans et la 107e année de présence du groupe américaine est marquée par la construction de 500 millions de véhicule dans toute son histoire. Une étape historique, et la voiture en question reste une inconnue puisque le groupe américain n'a pas voulu dévoiler le modèle en question. Serait-ce une Opel ?

L'actuel trio des utilitaires n'a plus que trois ans devant lui. General Motors et le groupe PSA Peugeot Citroën ont annoncé vouloir le remplacer en 2018. Les véhicules seront assemblés dans l'usine de Vigo en Espagne.

Opel travaille actuellement à un nouveau système d'aide à la conduite concernant l'éclairage de ses futurs modèles reposant sur la technologie dite du « eye-tracking ». Ce n'est ni plus ni moins qu'un système qui dirige l'éclairage de vos phares vers l'endroit ou votre regard se porte. Étonnant.

General Motors vient de lancer un rappel massif de plus de 64 000 Chevrolet Volt (cousine de l'Opel Ampera qui devrait aussi être concernée) pour un problème étonnant qui touche à sa conception particulière d'hybride à prolongateur d'autonomie. En effet, dans certains cas d'utilisation, l'auto peut déclencher son moteur thermique sans présence humaine, ce qui en milieu fermé peut engendrer une asphyxie au monoxyde de carbone.

Nous savions déjà que General Motors n'avait aucun remors à supprimer des marques de son grand catalogue, mais quelques années après leur disparition, qu'en est-il dans les esprits des dirigeants du groupe ? Pour la numéro un de GM, les choses sont claires : Saab, Pontiac ou encore Hummer ne manquent pas le moins du monde !

Nous connaissions les ventes de Volkswagen Group et General Motors pour 2014, il ne manquait donc plus que celles de Toyota pour connaître le podium final. Le groupe japonais annonce avoir vendu 10,23 millions d'autos l'an dernier, ce qui fait de lui encore une fois le premier constructeur automobile mondial.

Au fait de sa puissance, la General Motors voyait d'un mauvais œil les initiatives d'une enseigne Google spécialisée dans le moteur de recherches s'engageant dans la recherche dans le monde des moteurs. Depuis, les choses ont changé et le même groupe américain se dit qu'à l'aube de la voiture connectée, ce compatriote pourrait l'aider à redorer un blason terni par un vulgaire commutateur d'allumage, dramatiquement mal pensé.

Le plus gros problème d'Opel depuis de nombreuses années, bien avant le produit, c'est l'image de marque. Le blitz a longtemps eu du mal à trouver sa place et à se faire une réputation au milieu des autres généralistes, mais selon la chef du marketing d'Opel, le constructeur serait actuellement en train de réussir à changer son image.