Volkswagen aurait-il dissipé l’écran de fumée cachant des connivences entre le pouvoir politique et les constructeurs automobiles carburant à la fraude sur les émissions polluantes ? Il faut dire que l’énormité de l’existence d’un logiciel truqueur rendant les moteurs diesels vertueux au regard d’une réglementation soucieuse de notre santé ne semble plus être une exception. Mais une règle chez des fabricants de voitures, qui, depuis, sont un à un montrés du doigt pour leurs faux résultats. De quoi se poser des questions.
Les enfants font partie des usagers les plus vulnérables sur les routes. Il est donc important de leur enseigner les règles fondamentales. Pour le faire de manière ludique, la Sécurité Routière a conçu des films, une application mobile et des jeux autour d'un nouveau personnage, Elliot le Pilote.
Le « Dieselgate » initié par les logiciels truqueur de Volkswagen continue à produire ses effets nocifs sur l’industrie automobile. Fiat Chrysler ne serait pas très clair, Renault se serait fait capturer son Captur, mais cette fois, c’est Citroën qui se serait fait piquer par son Cactus. Ce modèle intrigue le Joint Research Center (JRC), un laboratoire scientifique rattaché à la Commission européenne. C’est la première fois que la propreté des moteurs du groupe PSA est remise en cause.
Voici les arômes, les couleurs et l’esprit d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître. Une époque où l’on prenait son carburant dans des stations essence à vil prix, où les radars sur des routes plus meurtrières, n’existaient pas, une société qui ne s’astreignait pas à cinq fruits et légumes par jour mais n’oubliez que rarement son canon tout en se consumant dans des bouffées de cigarettes vendues dans des paquets colorés. Bref, le moyen âge. Ou la belle époque. C’est selon.
Se faire retirer le permis de conduire laisse comme un goût de cendre. La perte du document rose peut aussi faire voir rouge et porter à incandescence une colère qui veut tout consumer sur son passage. C’est ce qui s’est passé du côté du Haut-Rhin, où, ce que l'on appelle pudiquement de jeunes hommes ont monté une expédition punitive après un retrait de permis… Contre la Gendarmerie.
Renault prend le même chemin que Volkswagen. Non, cette fois, il n’y a aucune allusion perfide à un « dieselgate » qui enfume de plus en plus les constructeurs automobiles. Fiat Chrysler y compris. Il s’agit ici plutôt d’un chemin pris selon un mode dit du « ride sharing ». Un terme générique rassemblant ces nouvelles technologies de transport mises à jour par des startups actuellement rachetées à tour de bras par des constructeurs automobiles bousculés dans leur cœur de métier. Ainsi, Volkswagen a déjà le géant du taxi Gett dans sa nébuleuse. Renault aura Karhoo.
Le groupe automobile français PSA qui réunit notamment Peugeot et Citroën est heureux d’annoncer à la clôture de son exercice 2016 une croissance de ses ventes mondiales de 5,8 %. De quoi s’enthousiasmer ? Voire ! Car dans ce bilan, on a réintégré une Iran jusque-là absente. Sans elle, les ventes du groupe ont chuté de 2 %.
L’année a commencé et la météo nous rappelle que nous sommes loin d’être sortis de l’hiver. Une alerte orange vient d’être lancée, pour une colère du ciel qui est attendue ce jeudi 12 janvier 2017 à 16 h 00 pour se terminer le lendemain vendredi 13 janvier 2017 à 18 h 00. Il s’agira là d’une forte tempête hivernale très active nécessitant une vigilance particulière. Dixit Météo France.
C’est un discours que l’on pensait remiser définitivement au rayon des souvenirs du siècle dernier que nous servent ces derniers temps les États-Unis. Son futur Président, Donald Trump, a dépoussiéré le protectionnisme, nous rappelle le refrain de la préférence nationale et prend l’automobile à témoin d’une mondialisation qui condamne le concitoyen au chômage. Tout n’est pourtant plus aussi simple. Mais dans une France qui entre en période électorale, le débat s’ouvre. Avec des ralliements étonnants.
Le vainqueur des primaires de la droite et à ce titre déjà sur la ligne de départ des prochaines élections présidentielles a fait un détour par le Salon de Las Vegas, dévolu aux nouvelles technologies. Mais aussi, de plus en plus, la vitrine de ce que sera l’automobile de demain. Une visite qui n’était pas une première, puisque François Fillon avait déjà arpenté les stands du CES dès 1999. Mais cette fois, il a tenu à insister sur une voiture autonome, carrément qualifiée d’enjeu économique le plus important depuis mille ans. Carrément.