C'est une reprise que Renault de manière assez étrange veut absolument tenir hors de portée des caméras ! Étrange en effet, parce que force est de constater que les salariés semblent plutôt satisfaits de ce que leur direction a mis en place pour assurer leur sécurité sanitaire à Flins. Même les syndicats, à l'exception de la CGT, paraissent rassurés, alors qu'ils contestaient tous cette reprise anticipée. Forcément, l'attitude du constructeur français inspire plutôt la méfiance… Reportage.
Les rythmes de production, sur deux journées, doublent par rapport à ce qui avait été annoncé. Il devait en effet y avoir 50 Yaris assemblées par jour à l'usine d'Onnaing, pour la première semaine de reprise, soit 100 tous les deux jours. Mais on en est déjà à 200 avec une seule équipe de production. De quoi espérer que la Yaris 4 arrive un peu plus vite que ce qui est maintenant prévu ? Il paraît un peu tôt pour le savoir.
Pour le redémarrage de sa chaîne de montage dans le Nord, Caradisiac s'est invité chez le constructeur japonais. Qu'a-t-il été mis en place pour éviter les risques d'infection au coronavirus ? Qu'en pensent les salariés ? Sont-ils rassurés ? Pour nous en rendre bien compte, le mieux était de venir sur-place.
Selon les premiers chiffres compilés par la société Autoviza, les ventes de voitures neuves ont baissé de 93% depuis le début du confinement.
Le Zimbabwe vit une crise économique majeure. Dans ce pays où l’inflation a atteint 900% le carburant vient de subir une inflation de 25%. Désormais un plein d’essence équivaut à un mois de salaire.
Après des années au sommet des ventes mondiales, Mercedes et BMW stagnent. Quant à celles d'Audi, elles ont reculé. L'entrée en vigueur de nouvelles normes européennes d'homologation (WLTP) au 1er septembre dernier et la montée de concurrents toujours plus compétitifs ont fait trembler en 2018 les reines allemandes du marché premium.
Les résultats financiers présentés par les constructeurs automobiles sont encourageants, la bourse en général donne des signes peu alarmants et s’offre même parfois quelques embellies. Si, de ce côté-ci de l’Atlantique, l’emploi est en berne, chez l’Oncle Sam, on s’estime proche du plein-emploi et les jobs sont légion. Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes s’il n’y avait pas le taux de défaut sur les prêts automobiles.
Les voitures connectées nous promettent de belles joies mais elles nous garantissent aussi de mauvais moments. En l'état actuel de la technologie, ceux-là sont déjà subis par les automobilistes qui ont acheté leur engin à crédit. Cela se passe aux Etats-Unis et, là-bas, lorsque l'on oublie une mensualité, le prêteur déconnecte à distance le véhicule qui ne démarre plus. Un dispositif qui devient progressivement une condition incontournable pour avoir les sous pour payer la facture d'achat. Et chez nous, c'est pour bientôt ?
Les chiffres de décembre du marché automobile en France arrivent, et ils ne sont pas bons. Si commandes au Père Noël il y eu durant ce mois traditionnellement dévolu à la veillée près du sapin, ce ne sont pas des voitures qui ont été inscrites sur les lettres et mises dans la hotte. Pour les constructeurs, la crèche est restée vide. De quoi avoir les boules et se faire enguirlander par des investisseurs qui ne vont pas réveillonner sur la chute évaluée à 8%. Des chiffres de commandes à prendre au conditionnel.
Bertone était en faillite depuis le mois de mars dernier et cherchait activement des repreneurs depuis cette date. Malheureusement, le 4 juillet dernier lors de la dernière audience, le tribunal a rejeté la demande de conciliation formulée par l'entreprise, c'était l'ultime chance pour Bertone de se sauver.