Les radars tronçons sont les nouveaux instruments de répression que les services de l'État vont mettre en place pour notre bien, évidemment. Capables de mesurer la vitesse moyenne sur des distances de plusieurs kilomètres, ils vont s'ajouter à la liste des cauchemars des usagers de la route. La société Coyote n'a pas attendu très longtemps pour expliquer qu'elle sera capable d'indiquer à quels endroits seront placés ces nouveaux systèmes.
Les préfectures étaient invitées par le ministère de l'Intérieur à faire remonter toutes les zones accidentogènes de leur département avant le 21 octobre 2011. Données qui devaient être transmises aux fabricants d'avertisseurs de radars, désormais baptisés assistants d'aide à la conduite, rassemblés au sein de l'AFFTAC... Des infos que ces derniers attendent toujours, selon les déclarations de Fabien Pierlot, le PDG de Coyote, ce mercredi matin.
A partir de ce lundi 28 novembre, Coyote, Inforad, Wikango, comme tous les autres signataires du protocole d’accord de juillet négocié avec le gouvernement, ne sont plus autorisés à s’intituler « avertisseurs de radars », le mot « radar » étant totalement banni de leur vocabulaire. Ils deviennent des « assistants d’aide à la conduite » et avertissent les conducteurs de leur entrée dans des zones dangereuses ou à risque, entre autres. Caradisiac les a testés pour se rendre compte des véritables changements.
Le marché des GPS avertisseurs de radars est en plein chamboulement. Il devait s'effondrer, le voilà bigrement ragaillardi depuis la signature d'un protocole d'accord avec le gouvernement. Quel coup de pub en effet donné aux fabricants signataires, surtout ceux des Coyote, Inforad et autres Wikango ! Au final, le pacte de cet été donnerait presque l'impression que ces derniers et les responsables de la Sécurité routière s'entendent comme larrons en foire. De quoi satisfaire les conducteurs ? Pas si sûr... Tant certaines discussions font craindre une évolution de ces nouveaux « assistants d'aide à la conduite » vers de véritables « boîtes noires » ! Et qu'en est-il des utilisateurs de Garmin ou de TomTom ? Notre enquête répond à toutes vos questions.
Le sort des avertisseurs de radars est à l'ordre du jour dans notre cher hexagone où la répression routière justifie toutes les mesures possibles. Mais aux Etats Unis, le problème n'est pas très éloigné du notre et sur demande de plusieurs sénateurs, Apple (iPhone)vient d'annoncer dans la foulée de RiM (BlackBerry) qu'il interdirait les applications permettant aux conducteurs d'éviter les contrôles radars et d'alcoolémie.
Surfant sur le succès du Iphone et de ses fameuses "apps" (des centaines de milliers disponibles, dixit Apple), les constructeurs proposent aujourd’hui nombre d’applications automobiles à lui adjoindre. Pour la plupart gratuites, ces
Lundi 16 mai se déroulait la cérémonie d'inauguration du Viaduc qui enjambe l'Adour. A cette occasion le député-maire Jean Grenet (UMP) s'est lancé dans une diatribe contre les radars. Visiblement excédé par leur nombre, Jean Grenet sous-entend qu'il roule à 160km/h tout en étant équipé d'un Coyote, allant ainsi à contre-courant des déclarations récentes du gouvernement quant à l'orientation de la répression routière. A-t-il seulement raison ?
Il y a à peine un mois et demi, nous vous annoncions le passage de la barre des 900,000 utilisateurs pour le système bien connu d'alerte radars communautaire Coyote. Le succès ne se dégonfle toujours pas (le nombre de radars non plus) et nous retiendrons que c'est très précisément le 3 mai 2011 que Coyote a atteint la barre symbolique du million d'utilisateurs.
Le procès qui doit régler le litige opposant Team Lotus de Tony Fernandes et Proton qui détient Lotus Group, le partenaire principal de Lotus Renault a débuté aujourd'hui avec un premier événement de taille. David Hunt qui avait cédé les droits du nom Team Lotus au patron malais de l'équipe abritant Trulli et Kovalainen refusera de soutenir ce dernier.
Le Mondial de L'auto 2010 fut l'occasion pour Coyote de présenter une nouveauté : le Mini Coyote Plus.