On entend dire depuis des années que la Chine pourrait écraser l'industrie automobile européenne grâce aux voitures électriques, mais même ce pays à la pointe de cette technologie semble arriver à saturation d'autos à zéro émissions en raison d'une demande insuffisante. Et maintenant, que pourrait-il se produire ?
Pour le chantre du "six en ligne", l'inflexion générale vers l'électrique est d'ores et déjà actée.
Le salon Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas permet de découvrir des innovations étonnantes. La preuve avec cette supercar chinoise Xpeng Aeroth capable de se transformer en drone en quelques secondes seulement.
En pleine montée en puissance un peu partout dans le monde, l’industrie automobile chinoise vient de passer devant l’Allemagne et le Japon pour devenir le plus gros exportateur de la planète.
Le constructeur chinois Li Auto lance sur son marché le Mega MPV, un van au look surprenant et aux caractéristiques techniques pour le moins étonnantes.
Conçue d'abord pour la Chine, la Volkswagen ID.7 semble ne pas plaire à la clientèle locale pour l'instant. Encore une mauvaise nouvelle pour le constructeur allemand qui peine à séduire avec ses modèles électriques.
Comme toutes les nouvelles familiales électriques chinoises, le premier modèle du fabricant connu pour ses smartphones promet des performances de pointe. Il se range dans la catégorie des grosses berlines face à la Tesla Model S.
Le groupe Stellantis dévoile un nouveau pick-up quasiment identique au Peugeot Landtrek. Comme ce dernier, il dérive d'un modèle chinois et vise d'autres marchés que l'Europe.
En Europe comme aux Etats-Unis, la clientèle ne se rue pas encore sur les voitures électriques. Mais alors, quel est le problème exactement ?
Alors que la France se prépare à exclure les voitures chinoises de son bonus écologique, le gouvernement américain en fait de même et va obliger les constructeurs automobiles à ne plus importer de batteries de Chine s'ils veulent béénficier des grosses aides fiscales. Les Américains en profitent pour exclure aussi les nations jugées comme "ennemies" comme la Russie et la Corée du Nord.